Assurément, ce n’est pas le livre de Werber que je préfère, même si comme d’habitude, on y apprend une foule de choses intéressantes. Les 160 premières pages racontent surtout l’enfance et le début de l’âge adulte de Jacques, avec quelques précisions sur le travail de Caroline. Bref, l’intrigue est bien longue à se mettre en place… à tel point que le peu de péripéties ne m’a même pas passionnée, je les ai trouvées très classiques. Cela s’améliore vers la fin, où je retrouve le style de Werber, à l’action plus rythmée et qui pense toujours aux conséquences politico-médiatiques de ses inventions. Mais le livre s’arrête juste quand cela devient plus intéressant, j’imaginais un ouvrage à l’image des thanatonautes, où l’exploration du sixième sommeil transformerait la société toute entière… Au lecteur de s’imaginer la suite…