Troisième opus avec Robert Langdon, nous sommes ici à Washington pour révéler un secret enfoui depuis très longtemps.
Je ne vais pas vous mentir, je n’ai rien compris. J’exagère un peu car il y a tout de même eu des moments lucides, mais en somme je n’ai pas saisi l’ensemble. Les francs-maçons, le monde enfoui des sectes avec leurs rites de passage, l’élévation au sein de l’ordre et du fait que la plupart sont des « grands » aux États-Unis, ainsi que la quête de la vérité, ce secret que garde justement la franc-maçonnerie. Jusque-là j’étais plus ou moins ok. Mais au final, c’est quoi le secret? Un truc qui m’a bien fait rire genre « tout ce pavé pour ça? »
Je ne suis sans doute pas impartiale car passée la moitié du livre j’avais envie de l’expédier à l’autre bout de la pièce. Laissez-moi vous expliquer.
Langdon est appelé en urgence par un vieil ami d’enfance pour faire une conférence à Washington. Arrivé sur place, personne. Seule une main coupée empalée au milieu du Capitole l’accueil. La main de son ami. Arrive la CIA, question de sécurité nationale. Langdon va alors suivre sa propre enquête en marge de la CIA pour sauver son ami et la sœur de ce dernier qui semble autant en danger. Elle qui est chercheuse pour une nouvelle technologie, serait-elle en partie la cause de cette tragédie?
En fait c’est toute la famille de ce frère et de cette sœur qui est le pignon central de toute l’affaire qui semble énorme et explosive mais qui m’a laissé totalement de marbre. Et Langdon dans tout ça? Une dinde qui se balade aux côtés des autres et qui de temps en temps (pas avant le quart puis le milieu du roman) va expliquer des choses et donc SERVIR A QUELQUE CHOSE. Trop d’éléments différents, trop de situations sans rapport direct, trop d’événements rocambolesques pour seulement douze heures dans l’histoire.
Bref, j’ai détesté ce volume alors que les deux premiers sont cultes à mes yeux.
https://cenquellesalle.wordpress.com/2020/02/29/le-symbole-perdu/