Gros volume, lu pendant des heures lors de ma dixième année. Roman pourtant intéressant à tout âge, même plutôt à l'adolescence. (Fichage quand tu nous tiens).

Théo, ado malade se fait embarquer par sa tante dans un tour du monde des religions parce que voyager guérit, on pourrait même dire grandir.

Extrêmement plaisant, très intéressant et donne un excellent panorama de la spiritualité mondiale, à travers les différents continents.

Après les puristes s'écrieront qu'il y a une certaine forme de vulgarisation.
En même temps, c'est un roman.
Misarweth
6
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleurs livres de voyage

Créée

le 27 mars 2011

Critique lue 376 fois

1 j'aime

Misarweth

Écrit par

Critique lue 376 fois

1

D'autres avis sur Le Voyage de Théo

Le Voyage de Théo
Sourismile
8

Une jolie découverte

Pour ceux qui, comme moi, ont reçu une éducation religieuse sommaire, ce livre est une agréable découverte. Certes, il y a parfois quelques longueurs, mais on apprend tant sur les religions du monde...

le 18 juil. 2011

1 j'aime

1

Le Voyage de Théo
Misarweth
6

Critique de Le Voyage de Théo par Misarweth

Gros volume, lu pendant des heures lors de ma dixième année. Roman pourtant intéressant à tout âge, même plutôt à l'adolescence. (Fichage quand tu nous tiens). Théo, ado malade se fait embarquer par...

le 27 mars 2011

1 j'aime

Le Voyage de Théo
Tyran
7

Critique de Le Voyage de Théo par Tyran

Un peu cucul la praloche mais remet les idées à plat sur les différentes religions. Le côté roman allège un peu le discours et les aspects religieux sont abordés simplement.

le 16 nov. 2012

Du même critique

No pasarán, le jeu
Misarweth
8

Le gamer politique

Classé en fantastique après quelques hésitations, les puristes se récrieront, je prend le risque. Livre certes dans une collection s'adressant à l'origine plutôt aux adolescents mais qui, dans son...

le 27 mars 2011

9 j'aime

Spinoza encule Hegel
Misarweth
10

Critique de Spinoza encule Hegel par Misarweth

Avant Mad Max, après mai 68, il y a Pouy. Petit opus, qui se lit vite, qui se déguste par paragraphe. Ça exhale la furie, ça suinte la référence littéraire, ça délire la nomination. Les piteuses...

le 27 mars 2011

9 j'aime