Effet doublon ?
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le 17 sept. 2018
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S’il y a un roman de la Rentrée Littéraire que je raterai sous aucun prétexte, c’est bien l’événement dans l’événement, la sortie du souvent court, mais intense roman d’Amélie Nothomb. Auteure souvent critiquée, mais jamais égalée et qui continue depuis plus de 30 ans à être l’une des auteurs la plus vendue de la Rentrée Littéraire.
Comme vous l’aurez compris, je ne suis pas la personne la plus indiquée pour donner un avis objectif sur les romans d’Amélie Nothomb, car depuis tout petit (ou du moins pas bien vieux) je suis tombé dans la potion magique qui fait aimer année après année, les romans de l’auteure.
Systématiquement, vous entendrez ou lirez des critiques sur la petitesse de ses livres et cette légende urbaine, qu’avec le temps les caractères sont de plus en plus gros. Généralement, ce sont les mêmes qui critiquent l’inverse chez d’autres auteurs, qu’en plus d’écrire des pavés, ils sont indigestes.
Bref Amélie Nothomb, bien malgré moi, ne peut plaire à tout le monde, mais une chose est sûr, elle fait toujours parlait d’elle.
Les connaisseurs d’Amélie connaissent les thématiques récurrentes que l’on peut rencontrer à travers ces livres : la nourriture (pas dans le dernier en-tout-cas, peut-être un petit peu, avec lorsque l’auteur parle de son nectar préféré le CHAMPAGNE), les relations, sentiments entre les personnages, cette fois avec la relation père et fille et également les prénoms, là nous sommes encore une fois en plein dedans. Les prénoms épicènes peuvent être à la fois masculins et féminins un peu comme les prénoms des parents d’épicène Claude et Dominique…
Ce dernier roman, comme souvent chez l’auteur traite de l’injustice et la vengeance, cependant une vengeance sans préméditation, mais sans remords non plus.
Sur le Blog : http://www.bouquinovore.com/2018/09/les-prenoms-epicenes-amelie-nothomb.html
Créée
le 18 sept. 2018
Critique lue 485 fois
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