Critiques de Les hommes viennent de Mars, les femmes viennent de Vénus

Oui, je sais bien, en tant que mère-divorcée-hétéro la plupart du temps-urbaine-pas carriériste, je ne suis pas la mieux placée pour donner mon avis sur ce type de "littérature". Mais, je suis sympa,...

Souvenir fugace de lecture affligeante (comment ce livre avait fini sur une étagère à ma portée, je refuse de me le remémorer), Les hommes viennent de Mars, les femmes viennent de Vénus est un gentil...

Voilà un ouvrage extraordinaire ! Il se propose de nous aider à résoudre nos problèmes de couples, lesquels, selon l'auteur, ont essentiellement pour origine le manque de communication entre hommes...

Quand Florence Foresti fait un sketch sur les clichés concernant les hommes et les femmes, c'est drôle. Quand John Gray fait la même chose de manière sérieuse et sous couvert d'étude rigoureuse,...

Dans le livre, y'a deux choses avec lesquelles je ne suis pas d'accord : _ Tous les couples sont uniques, on ne peut pas généraliser. Certaines situations dans le livre vont m'être totalement...

Une grosse blague ce livre ! Vous en apprendrez plus sur la vie de couple et les rapports homme-femme en descendant boire un verre au bistrot du coin.Censé rassembler les deux "entités" d'un couple...

Une véritable bouse. L'auteur va si peu loin dans sa réfléxion que le livre entier n'a aucun sens, c'est une succession de clichés monumentaux dignes du bistrot du coin. De nombreuses questions...

Un ramassis de lieux-communs étalés sur un nombre de pages au moins quinze fois supérieur à ce qui lui aurait été suffisant. Approche pseudo psychologico-comportementale des relations homme/femme,...

C'est pourtant ma mère qui me l'avait conseillé pendant ma tendre adolescence. J'ai décidé de le lire dix ans plus tard pour voir ce que j'avais raté. Sans surprise, pas grand chose. Je n'ai jamais...

Honnêtement, je déteste rarement un livre. Ca m'est arrivé peut-être une fois. Mais là.... je n'étais jamais arrivée au point de sauter des pages pour finir au plus vite. Mais il faut bien...