Ampoulé
Bof Bof. Eugene Sue n'a rien hélas d'un grand auteur, son style ampoulé, aux dialogues très téléphonés, souvent maladroit, en font une lecture plutôt désagréable. C'est très moralisateur, et le...
Par
le 24 févr. 2012
6 j'aime
Ce roman-feuilleton – que dis-je ?- ce classique de la littérature de genre s’ouvre sur le portrait de Rodolphe. Rodolphe, le personnage central, est très mystérieux. On apprendra au fur et à mesure du livre (vous avez des centaines et des centaines de pages devant vous pour apprendre des choses…) quelles sont ses origines. Il est beau, il est grand, il est fort, parle bien et se bat comme personne. Et c’est pratique car ça lui sert d’entrée de livre à protéger la Goualeuse des violences du Chourineur qui deviendront rapidement tous les deux des personnages principaux de l’intrigue. Une des caractéristiques de Rodolphe est qu’il est doté d’un sens infaillible pour distinguer le bien du mal et qu’il utilise cette compétence pour récompenser les bons et punir les mauvais. Car c’est un peu ça le sujet du roman, la différence entre les uns et les autres, sachant qu’il n’y a pas réellement de juste milieu…
Lisez la suite sur mon blog.
Créée
le 20 mai 2016
Critique lue 387 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Les Mystères de Paris
Bof Bof. Eugene Sue n'a rien hélas d'un grand auteur, son style ampoulé, aux dialogues très téléphonés, souvent maladroit, en font une lecture plutôt désagréable. C'est très moralisateur, et le...
Par
le 24 févr. 2012
6 j'aime
Voici un vrai classique, une œuvre monumentale qui a marqué son époque et changé son temps. On dit que tout le monde s'arrachait les nouveaux épisode de ce feuilleton qui sortait hebdomadairement, au...
le 24 févr. 2016
5 j'aime
1
Disons le tout net, il s'agit d'un fort beau pavé de plus de 1300 pages. C'est le genre d'ouvrage plutôt massif que je n'offre à ma dévorante soif littéraire qu'une fois par décennie. Mais je m'y...
Par
le 26 sept. 2011
3 j'aime
4
Du même critique
Laborieusement arrivé à un peu plus de la moitié de ce livre tant attendu, je cale. J'ai vaguement parcouru les quelques centaines de pages supplémentaires par acquis de conscience mais sans aucun...
Par
le 11 mai 2019
8 j'aime
5
Journaliste et écrivain, William Finnegan a également fait ses preuves comme surfeur. C'est d'ailleurs en tant que tel qu'il oriente ses mémoires. Le surf n'a jamais réellement fait partie de mes...
Par
le 14 avr. 2017
6 j'aime
Il ne lui faut pas moins de 750 pages bien tassées (et environ un million de parenthèses (l'auteur ne perd pas ses bonnes habitudes (et c'est (presque) devenu sa marque de fabrique))), pour réaliser...
Par
le 18 août 2021
5 j'aime
1