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D’Amour à mort
Bouleversant. Démesuré. Ce sont les deux mots qui me restent à l’esprit une fois ce petit livre terminé. Bouleversant, pour le témoignage et démesuré, pour l’amour qu’on peut y lire. Evidemment...
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le 8 févr. 2013
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"J'étais toujours occupée de toi [...]
mais tu pouvais aussi peu t'en rendre compte que de la tension du ressort de la montre que tu portes dans ta poche"
Une passion dévorante, un amour jamais retourné. Stefan Zweig sait trouver les mots pour nous conter cet amour inconditionnel, jusque dans les heures où l'inconnue écrit la lettre, alors qu'elle sait à ce moment qu'elle ne le reverra jamais. Le plus beau, le plus touchant sans doute est le questionnement que l'on peut avoir sur ce qui la pousse à écrire alors qu'elle n'aura pas de retour, qu'elle n'en a jamais eu, qu'elle n'en demande pas. Comme un besoin de subsister dans la mémoire de l'être aimé même s'il ne rend pas l'amour, qu'il ne possède même pas les souvenirs qu'ils auraient pu partager.
Une passion dévorante, un amour jamais retourné. Stefan Zweig sait trouver les mots pour nous conter cet amour inconditionnel, jusque dans les heures où l'inconnue écrit la lettre, alors qu'elle sait à ce moment qu'elle ne le reverra jamais. Le plus beau, le plus touchant sans doute est le questionnement que l'on peut avoir sur ce qui la pousse à écrire alors qu'elle n'aura pas de retour, qu'elle n'en a jamais eu, qu'elle n'en demande pas. Comme un besoin de subsister dans la mémoire de l'être aimé même s'il ne rend pas l'amour, qu'il ne possède même pas les souvenirs qu'ils auraient pu partager.
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Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Un peu de partage dans ce monde de brutes : arrêtons de penser à nos jolies fesses roses et parlons un peu de celles des autres...Et de leurs lectures, surtout. [Participatif]
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le 8 mai 2013
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