D’Amour à mort
Bouleversant. Démesuré. Ce sont les deux mots qui me restent à l’esprit une fois ce petit livre terminé. Bouleversant, pour le témoignage et démesuré, pour l’amour qu’on peut y lire. Evidemment...
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le 8 févr. 2013
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Cette nouvelle n'est pas seulement d'une médiocrité absolue à tous les niveaux : style, phrase, récit. Elle est surtout un stéréotype de la mièvrerie présupposée de la femme. Cette lettre est encore plus méprisante que l'essai sur les femmes de Schopenhauer et c'en n'est même pas le but. Il n'y a absolument rien à retirer de ce texte, c'est l'expression des clichés les plus communs à travers la femme dans son amour absolu et l'homme dans son désir impérieux. Une teinte de psychologie pour plaire aux demeurés qui s'empresseront d'y voir le génie de Zweig là où l'on ne devrait pointer que le vide infini derrière ces nombreuses taches noires qui remplissent les quelques pages de ce bouquin grotesque.
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le 12 oct. 2020
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