Roman qui parait choquant au début de la lecture mais également génial par l’utilisation de la première personne sur un enfant engendré par les nazis, et formaté avec toutes les pensées choquantes qu’il peut avoir. Je n’aime pas l’utilisation de la première personne en général dans les romans car elle a souvent une utilisation pratique pour certains auteurs jeunesses qui ne savent pas écrire et qui utilisent ça comme excuse. Au contraire le choix de la première personne est primordial pour rentrer dans la tête de Max, fruit du Libensborn. J’ai vraiment adoré ce roman et malgré tout max est un enfant auquel on s’attache vite. Parfois choquant, parfois émouvant vous ne ressortirez pas indemne de cette lecture.
Ma critique sur mon blog : http://laplopcritique.lucief.fr/roman-max-de-sarah-cohen-scali/