1926
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Moravagine , dernier descendant d'une famille royale en exil , incarne la folie et le mal. Son confident raconte son histoire. Moravagine est le double diabolique de Cendrars, qui signait là, en 1926, un roman d'aventures et un poème épique.
Critique positive la plus appréciée
Critique de Moravagine par Notche
Moravagine. autofiction, biographie, roman, supercherie, onirisme, réalisme... tout se mêle et se démêle au fur et à mesure des pages jetées sous nos yeux. Décousu mais cohérent, extrapolé mais...
Par
le 25 déc. 2010
14 j'aime
2
Critique de Moravagine par Babalou
Si je devais écrire un jour, je voudrais que mon style s'approche (si tant est que ça soit possible) de celui de Cendrars. Quelle révélation ! Quelle écriture dense, fouillée et quel sens du rythme ...
Par
le 31 août 2010
8 j'aime
Critique de Moravagine par Ymax
Il y a quelque chose de doucement candide à Moravagine. Une qualité décidément étrange quand on pense à son personnage éponyme, roue libre de destruction, de cynisme et de cruauté. Et pourtant, c´est...
Par
le 19 août 2015
4 j'aime
Critique de Moravagine par BibliOrnitho
Un bouquin que j'ai apprécié. Je suis entré aisément dedans (hormis le petit laïus indigeste sur la psychanalyse ou je ne sais quoi au tout début), mais j'avoue avoir eu un petit coup de mou au tout...
Par
le 24 juin 2012
5 j'aime
Un roman à couper le souffle
Ce roman à couper le souffle est totalement atypique dans l’œuvre de Cendrars. Moravagine est un tueur de femmes (qui porte bien son nom…), il est dangereux, fou, malfaisant et attachant. Dans...
le 21 déc. 2016
2 j'aime
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