Lorsque j’étais encore assis sur les bancs de l’école secondaire, j’ai eu la chance d’avoir comme professeur de français une dame assez atypique : âgée, la voix rauque d’avoir fumé comme une sapeuse durant des décennies et régulièrement vêtue d’une longue veste en cuir lui donnant des airs de Trinity, elle nous a un jour déclaré avoir choisi ce métier pour donner ses cours comme elle aurait aimé... Lire l'avis à propos de Mort d'un parfait bilingue