Critiques de Nous avons toujours vécu au château

Cannetille
8

Plongée au coeur de la névrose et de la paranoïa

Affectueusement surnommée « cette petite folle de Merricat » par son aînée Constance, la narratrice Mary Katherine a dix-huit ans, même si, à la lecture de son seul récit, alors qu’elle se complaît à...

le 26 mai 2022

3 j'aime

2

MoonlightReads
9

L'étrange e(s)t le banal

Eh bien, avec un tel résumé, je ne m’attendais pas à ça. Quel roman… Étrange. Dans Nous avons toujours vécu au château, il ne se passe pas grand-chose. Eh, l’évènement le plus important de...

le 15 mai 2019

2 j'aime

Bebe-Maudit
8

On raconte que celui qui a écrit la 4e de couv n'a toujours pas lu le livre...

C'est là que réside la véritable horreur. NE LISEZ PAS CETTE QUATRIÈME DE COUV AVANT LE LIVRE! (Je trouve aussi très regrettable la nouvelle traduction du titre, qui retire un côté hantise éthérée...

le 12 sept. 2022

Le_blog_de_Yuko
6

Nous avons toujours vécu au château

C’est une oeuvre singulière, basée sur le ressenti d’une très jeune femme à l’imaginaire foisonnant, que nous offre Shirley Jackson à travers ce titre. Une rencontre étrange, où l’ambiance feutrée...

le 20 févr. 2020

LilianSG
8

un roman d'ambiance

""Je m'appelle Mary Katherine Blackwood. J'ai dix-huit ans, et je vis avec ma sœur, Constance. J'ai souvent pensé qu'avec un peu de chance, j'aurais pu naître loup-garou, car à ma main droite comme à...

le 17 déc. 2019

ChatonMarmot
3

the Many Mischiefs of the Merry Cat

Après the haunting of hill house (1959), Shirley Jackson nous racontait encore une histoire de folle cloîtrée, sans traiter directement de sa propre condition aliénée de femme au foyer des années 50...

le 28 déc. 2018

4

JulienWilgaut
5

Promesses non tenues

Au commencement, un auteur relativement peu connu dans nos contrées mais encensé par ses pairs. Stephen King dit notamment d'elle qu'elle est à l'origine d'un des meilleurs romans fantastiques de la...

le 21 mai 2013

NancyS
8

Critique de par NancyS

Shirley Jackson est parfaite dans l'art difficile d'instiller une atmosphère oppressante et c'est ce qui fait la beauté de ses romans.

le 14 févr. 2013