Le roman relate les pérégrinations de deux irlandais, Leopold Bloom et Stephen Dedalus, à travers la ville de Dublin lors d'une journée ordinaire.
Match des critiques les meilleurs avis Ulysse
VS
BIG BADA BLOOM! (Homer Variations: Aria)
Aux premières pages, sentir comme un brouillard épais qui nous enveloppe, ou plutôt comme la noirceur de la nuit, mais les yeux s'accoutument, c’est bien fait des yeux, et on discerne des formes, pas tout, mais suffisamment pour pouvoir avancer, parce qu’il faut avancer, on regarde parfois les derniers pas, mais ne jamais s’arrêter, c’est important, et lorsque tout devient plus clair, on regarde autour de soi, et on est dans cette cathédrale dans laquelle on a mis les pieds en s’y...
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58
17
Dedalus
Décidément, ce roman, je n'y arrive pas !
Ulysse et moi, c'est une histoire d'incompréhension. Je suis parti sur de mauvaises bases et avec de mauvaises intentions. On m'avait dit qu'Ulysse était "le roman le plus compliqué". Je m'étais donc plongé tête baissée, heureux de me lancer dans un tel défi et prêt à fourbir tous mes neurones à l'assaut de cette citadelle.
Résultat, je me suis cassé les dents.
Plusieurs fois.
Maintenant je sais pourquoi.
Je crois que je cherchais trop loin ce qui...
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Dans une critique restée dans de nombreuses mémoires, Templar évoquait le roman de James Joyce comme une cathédrale dans laquelle on entrait à travers un brouillard épais, avant d’en discerner peu à peu les contours.
J’utiliserai pour ma part une autre métaphore. Celle du bateau et de la tempête. Traverser l’océan Ulysse, c’est être capable de se laisser aller dans les passages de gros temps...
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ELBATIBMI
Ai mis 2, j'eusse aimé pouvoir ne mettre aucune note. Cet objet m' est PRESQUE aussi illisible (à prendre au pied de la lettre) que Finnegans wake.
Une précision: ai lu Ulysse dans sa traduction française, ça joue clairement. Dans la version originale, des calembours céphalo-céphales un peu partout, en allemand-anglais-hébreu, et je parle pas des connotations typiquement irlandaises....
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Critique de Ulysse par T_wallace
Eh bien voilà. Fini. Commencé cet été, et terminé à la presque fin de l'hiver.
Peu importe le rythme auquel on découvre cette somme : en définitive, on n'y comprend rien. Le peu de cohérence narrative de l'ensemble peut d'ailleurs sembler rebutant. En apparence, seulement.
Car on n'attend pas longtemps de ce pavé qu'il nous raconte une histoire. Le concept de récit sur une journée suffit...
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Oh, mer
Ulysses, c'est à la fois la barque, la mer, et le monstre protéiforme qui dort sous l'eau. On part au large, et sous peu on est à la merci des houles, vagues, courants en tout sens. On manque de se faire bouffer, engloutir, mais non, on est au sec. Joyce, dans sa toute-puissance démiurgique, nous lâche des éclairs à la gueule, tisse des tornades, fait gronder les cieux... Depuis son siège de...
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Yes.
Alleluia. Pour un cours pris à la fac, j’ai lu Ulysses. De bout en bout. Ce que je n'aurais probablement jamais fait sans ce cours. Soyons clair : Ulysses n’est pas une lecture pour le plaisir. C’est parfois une véritable torture. Mais après avoir voyagé dans Dublin avec Stephen, Leopold et Molly, on est un brin changé, tout de même.
Les premiers chapitres sont à peu près lisibles....
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