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Sororité
Siri, elle est comme une soeur. Une soeur du midwest, universitaire, plus cultivée. Trop diront ceux qui ont trouvé la concierge de la rue de Grenelle pédante, mais peut-être pardonneront-ils son...
Par
le 30 juin 2011
6 j'aime
Aimer et souffrir: une vérité universelle
30 ans de mariage ... une vie commune bien remplie...et pourtant Boris demande une "pause" pour vivre une liaison avec une autre (plus jeune bien sûr). Mia tombe de haut et préfère se retirer dans un endroit paumé près de la maison de retraite où vit encore sa mère. Elle va y rencontrer beaucoup de femmes, des petites filles, des gamines, de jeunes mamans, de vieilles dames aussi et même de très vieilles mais aussi les femmes de sa famille:sa mère, sa soeur, sa fille. De toutes ces "figures" féminines va émerger le "spectre" de LA femme, telle qu'on la voit, telle qu'elle se voit.
Le roman est typique du style narratif de Siri Husveldt, plus proche de "Tout ce que j'aimais" que de ses livres postérieurs. A la fois drôle et cruel. Le pire est que le livre "fait miroir" et que se regarder peut faire très mal. Oui, hommes et femmes sont comme çà et c'est terrifiant...Cette impossibilité de se comprendre et de s'aimer est diabolique.
Le roman est typique du style narratif de Siri Husveldt, plus proche de "Tout ce que j'aimais" que de ses livres postérieurs. A la fois drôle et cruel. Le pire est que le livre "fait miroir" et que se regarder peut faire très mal. Oui, hommes et femmes sont comme çà et c'est terrifiant...Cette impossibilité de se comprendre et de s'aimer est diabolique.
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Créée
le 21 août 2011
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Hmm... J'ai découvert Siri Hustvedt en lisant "Tout ce que j'aimais", livre que j'ai dévoré et adoré. J'ai lu depuis d'autres bouquins qui m'ont toujours plus sans égaler cette première...
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Critique de Un Été sans les hommes par NathalieN
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