Ce roman, cela fait plus de 20 ans que je lui tournais autour sans réussir à l'ouvrir : trop de pression familiale sur cet auteur qui a causé mon nom...
Mais voilà, ça y est, je l'ai lu !
Quelle stupeur, aux premières lignes, de découvrir cette langue si particulière, vivante telle l'empreinte d'une époque, conservée sur papier. Quant à l'histoire de Ferdinand Bardamu, qui traverse Paris, les tranchées, les colonies, New-York, Rancy, Toulouse et Vigny pendant la 1ère, puis l'entre-deux guerres, éh bien... mieux vaut ne pas craindre le récit des mesquineries et bassesses humaines, telles des fatalités.
J'ai aimé lire ce roman, voir ses images et entendre ses voix, gravées dans mon imagination pour longtemps !
Créée
le 9 août 2015
Critique lue 391 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Voyage au bout de la nuit
Je prend ma plume pour t'écrire à nouveau Ferdinand (http://www.senscritique.com/livre/Mort_a_credit/critique/11709471), entre nous, on peut pas laisser de non-dits. Tu m'as mis une belle claque au...
Par
le 24 juin 2014
117 j'aime
28
Voyage au bout de la nuit, le premier roman de Louis-Ferdinand Céline, n’est pas une œuvre ordinaire. D’une part pour la qualité du récit et d’écriture. D’autre part pour les convictions et...
le 9 avr. 2015
98 j'aime
13
J’ai rencontré Céline par un hasard des plus fortuits. Comme ça. Un beau matin pas plus gris qu’un autre. Un jour comme y’en a pleins. Pourtant on se connaissait déjà tous deux, sans le savoir...
Par
le 17 nov. 2014
86 j'aime
21
Du même critique
Ce film a été adapté du roman de Marcel Aymé, du vivant et avec l'accord de celui-ci. C'est un film assez étonnant, parfois dérangeant, mais qui réussit le tour de force de nous faire rire malgré...
Par
le 5 sept. 2015
4 j'aime
1
Ce film est (très) librement adapté du livre homonyme, intégrant les à-côtés de la négociation et approfondissant le personnage principal. On y suit les méandres de la négociation en 1570 entre les 4...
Par
le 15 août 2015
4 j'aime
Comment peut-on encore voir sortir de tels films en 2020 ? Les stéréotypes s'enchaînent, les incohérences affluent... Tout spectateur d'au moins 3 polars dans sa vie ne peut être que catastrophé par...
Par
le 4 nov. 2020
3 j'aime
