Oh la claque !
Voilà, je termine ce road-trip de dingues en compagnie de la bande à Freddy. Putain, ce bouquin fout une grande claque dans la gueule, comme le dirait Hugo le narrateur, dit Bohem. Dans ce roman,...
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J'ai beaucoup pleuré à la fin. Je n'ai pas grand chose à dire, avec plus de 100 avis (Babelio) tout a déjà été dit sans doute, je ne les ai pas tous lus...
Si ce n'est que peut-être, je suis contente d'avoir été une ado soumise et timide, et de n'être devenue "rebelle" que sur le très tard... Sinon je ne serais sans doute plus là pour en parler, vu que Bohem, bah, c'est moi et tous ceux qui ne supportent pas l'hypocrisie, la lâcheté, la bassesse, la minablerie humaine, les "homines crevarices" sans conscience, comme dit Alfaric (Babelio)...
Et aussi qu'il y a des choses dans ce bouquin qu'on ne peut ressentir à sa lecture que quand on pilote sa propre bécane... Je le sais car j'ai longtemps été sds (= sac de sable = passagère), et hier, sur ma bécane (qui est quand même une bécane "d'homme", qui chante rauque, qui vibre, qui vit, qui demande un brin de violence et de poigne pour être "domptée"...), je me disais justement que cette sensation grisante, si on n'a jamais piloté, on peut pas savoir ce que c'est...
"On roulait comme on respirait : pour pas mourir..."
j'avais 41 ans et j'étais en train de mourir quand un jour mon homme a ramené une bécane à la maison et que d'un coup je me suis rappelé que mon rêve quand j'étais ado, c'était de devenir une motarde, tatouée, libre... Les tatoos, c'était fait, j'ai décidé de passer le permis. Mais ce n'est pas lui qui a fait de moi une motarde, c'est mon homme et les heures d'entraînement sur parking (et sur route mais faut pas le dire fort...) qu'on a fait tous les deux, car c'est pas le permis qui apprend à "maîtriser la bête", mais une pratique intense et assidue... Et je suis à nouveau vivante... Alors je sais de quoi Bohem il cause... Voilà. C'est tout.
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Créée
le 1 févr. 2017
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