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Des loups-garous, j’en ai rencontré pas mal (au sens littéraire du terme bien sûr !). Des chefs de meute, des suiveurs, des bagarreurs, d’autres très attachants… mais jamais des loups au sang aussi chaud que ceux de Keri Arthur. Marre de frissonner avec les températures en baisse ? Les longues descriptions vous ennuient ? Vous aimez l’action ? Alors ce roman de loups-garous bouillants et de vampires taquins est fait pour vous !

Riley Jenson est une héroïne à part, mi-vampire, mi-loup-garou. Chassée de sa meute avec son frère jumeau Rhoan à cause de leur différence génétique, Riley et Rhoan vont faire contre mauvaise fortune bon gré et s’enrôler au Directoire, organisme de surveillance des êtres fantastiques et protectrice des humains.

Dans ce premier tome de la saga, nous suivons Riley sur 1 semaine, avant la fameuse pleine lune. Mais la semaine que va vivre cette petite louve est loin d’être de tout repos ! Plusieurs Gardiens du Directoire chargés de faire régner le calme et la paix entre les espèces ont disparus et bientôt son frère Rhoan, lui-aussi Gardien, vient également à manquer. Alors que le stress commence à l’envahir, Riley fait une rencontre inattendue en rentrant chez elle. Quinn, vampire millénaire, nu et momentanément amnésique, la surprend sur son palier. Cette scène, mélange d’humour, de complicité naissante et d’attirance, vaut à elle-seule le bouquin !

Vous l’aurez compris, l’intrigue du livre repose sur la disparition mystérieuse de Rhoan et la quête de Riley pour le retrouver. Les rebondissements s’enchaînent à 200 à l’heure, on ne s’ennuie pas une seule seconde, tant et si bien que je me demandais parfois si ce n’était pas un peu trop rapide et comment Riley pouvait tenir la cadence… Et oui, car en parlant de cadence, l’autre thème très (très, très, très) récurrent de ce tome est la fièvre lunaire et l‘envie sexuelle PERMANENTE de Riley et ses congénères loups-garous. Comme je m’étais renseignée, j’étais prévenue avant de commencer ma lecture que la demoiselle avait de gros besoins. Néanmoins, je n’imaginais pas que le sexe allait avoir autant d’importance. Sur près de 400 pages, savoir que la lune l’influence fortement et qu’elle va finir par se frotter contre un arbre si ça continue, ça peut devenir lassant.

Le pire (à chacun sa vision des choses), est qu’il n’y a même pas tant de scènes sexuelles que ça. Juste qu’elle y pense… tout le temps. Toutes les 5 phrases en gros. Et une fois l’amour consommé (10 fois en tout hein) avec un de ses nombreux amants, je pensais (...)

La suite de ma chronique à cette adresse : http://ninehank.com/2013/12/riley-jenson-t1-au-clair-de-la-lune.html
alicja
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le 11 déc. 2013

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