De primes abords, le deuxième livre d’Éléonore de Duve est déroutant. Il s’oppose à l’amplitude de son premier roman, Donato. Dans ce premier livre, le regard se portait sur un ensemble, permettant au singulier d’apparaître parmi la densité du monde. Ici, le regard se réduit à des petites touches de perception sur la vie de Sophia, dont on suit l’évolution à rebours. Mais ce qui différencie le premier livre d’Éléonore de Duve avec ce livre-ci n’empêche pas d’y voir une continuité, notamment une sensibilité littéraire forte.
À suivre : https://laviesansprincipe.wordpress.com/2025/04/13/sophia-eleonore-de-duve/