La série sur son ensemble ne mérite sans doute pas entièrement 7, puisque certains épisodes sont en-dessous.
Mais une bonne quantité de chapitres (au hasard de ce qui me revient, celui avec l'actrice-enfant qui ne grandissait pas, celui sur le chapelier Fou, le premier avec Gueule d'Argile, celui avec la partie de poker des méchants etc...) contenaient une pure émotion, un brise-coeur né de la tragédie vécu par ceux qui allaient devenir "vilains" ou par le héros masqué. Ou bien ils contenaient une forte surprise, un contrepied réjouissant.
Une adaptation qui dévoilait en image, en continuité des films de Burton, tout ce que le Dark Knight avait de Dark, justement, et de déchirant, voire de transgressif et de violent.
Une qualité d'écriture, une esthétique et un générique vintage au son composé par Danny Elfman (le même thème que le premier film, justement) qui resteront dans les mémoires.