Contrairement à ce que l’on a pu dire sur Oliver Stone, je ne l’ai pas trouvé en béate admiration devant le président Russe, Vladimir Poutine, dans la mesure il ne renie pas son patriotisme américain. Pendant les 2 premiers épisodes, il essaie d’instaurer une relation de confiance, avec un maximum de naturel, afin d’aborder les questions qui fâchent davantage dans les deux derniers épisodes. Cette relation « amicale » prend une tournure inattendue lorsque... Lire la critique de Conversations avec Monsieur Poutine