Cette fois-ci c'est la bonne.
Il faut savoir que l'ancien animé de Fullmetal Alchemist était déjà pour moi un truc immensément culte, malgré tous les défauts et le partage en vrille vis à vis du manga et la fin un peu horrible (et du film Shambala où c'était vraiment du n'importe quoi, disons-le). Je n'avais pas dépassé la moitié du manga (pas par manque d'intêret, mais de sous: les FMA, le les achetais, c'était sacré).
Plusieurs fois je me suis lancée dans Brotherhood sans jamais dépasser quelques épisodes : j'étais trop perturbée par l'histoire identique (au niveau de la première dizaine d'épisodes) et l'absence de mes génériques adorés. Mais je m'y suis remise, cette fois ci motivée pour avancer. Et alors ce fut l'accrochage obsessif. L'histoire prend ENFIN sens, on y explique absolument tout, tout est logique (du moins dans la logique FMA-esque). Enfin on apprend qu'Ishbal n'était pas juste une histoire isolée, on y retrouve le personnage génial Ling, toute l'histoire des Homonculus et leur "père" est expliquée, ainsi que l'histoire du père d'Edward et Alphonse. Toutes ces réponses laissées dans le vide la première fois (bien qu'ils n'avaient pas le choix, l'animé ayant dépassé le manga) sont enfin dévoilées. On ne s'ennuie pas une seconde. Et alors les épisodes finals... la fin magistrale... c'était parfait. Cette fois-ci on finit l'anime sans rancune.