Winter is coming (en 2012)
Je ne sais pas s'il est très utile d'écrire une énième critique de Game of Thrones. Même mon titre est bateau (mais inévitable).
Du coup je vais me contenter de donner quelques impressions, c'est tout ce qu'il est encore nécessaire d'apporter.
J'ai mis quelques mois à me mettre à Game of Thrones. Pourtant je savais que je les regarderai un jour mais voilà, je le savais tellement qu'à force je ne le faisais pas. Avec le boyfriend, on s'est retrouvé à avoir pas mal de temps libre et Game of Thrones s'est rapidement présenté comme une évidence : ne pouvant aller plus vite que les octets, nous prenions l'habitude de regarder un épisode par jour... un... deux et trois le second jour... quatre... cinq...
Le cinquième jour a été celui du six, du sept, du huit, du neuf et du dix. Une phase de boulimie qui aurait pu durer toute la nuit si l'on ne nous avait pas dit d'attendre 2012.
Du coup je pense que tout ça est assez criant, que ma pulsion de dessiner la jeune Khaleesi sous toutes les coutures en en sortant et que mes larmes durant le dernier épisode expriment bien comme on s'attache aux personnages, comme on vit l'aventure... Comme le livre doit être bon.
Je crève d'envie de les lire à présent, du moins les deux premiers, je ne sais pas, je pense que je préfère attendre la suite sur petit écran avant d'aller plus loin. C'est bien la première fois que la version animée d'une histoire me semble plus attirante que sa version papier. On verra, je vous dirai.
Mon seul regret ? Qu'il n'y ait pas eu un ou deux épisodes de plus, le dernier aurait facilement pu s'étirer un peu sans en pâtir.
En attendant c'était une véritable expérience qui risque de hanter mes nuits pendant un bon moment, j'attend la suite avec impatience.