Si vous découvrez Jojo avec cette première saison, je vous conseille de vous accrocher jusqu'à la partie 2 (épisode 10) parce qu'en ce qui concerne la première partie, à part les 2-3 premiers épisodes qui sont assez sympathique à regarder, le reste de la partie ressemble à une orgie de stupidités ennuyeuse qui vous pousseront sûrement à vouloir arrêter la série.
- Alors, Jojo, de quoi ça parle ?
Eh bien Jojo, c'est un manga en plusieurs parties possédant tous un style et un genre différent mais avec toujours des combats à l'onde (pour les deux premières parties) puis avec des stands (pour les parties suivantes). Du coup, c'est compliqué de parler du scénario de Jojo sans le séparer entre ses parties.
Ainsi donc, la première partie nous narre les aventures de Jonathan Joestar, héritier de la riche famille Joestar et gentleman, dont la vie (et le destin) et chambouler par l'arrivée de Dio Brando (Issu de la rue, milieu opposé à celui des Joestar) qui va très vite essayer de le pousser à bout pour emporter son héritage. Mais, parce qu'il y a toujours un "mais", Dio fait un jour joujou (si je puis dire) avec un masque de pierre et très vite la rivalité entre Jojo et Dio dérape vers quelque chose de bien plus sinistre à base de vampire qui ressemble un peu trop à des zombies, qu'on se le dise.
La seconde partie, quand à elle, nous narre les aventures de Joseph Joestar (le meilleur Jojo à mon goût :) ), petit-fils de Jonathan, vivant à New York et dont le destin dérape lorsqu'il apprend le mystérieux décès du grand ami de son grand-père, Robert E.O. Speedwagon et qu'une version vampirisée de Straits, personnage secondaire de la première partie, s'en prend à lui. De fil en aiguille, Joseph se retrouvera à faire une sorte de tour du monde afin d'arrêter la nouvelle menace de cette partie : les fameux "Hommes du Pilier".