Hiroyuki Imaishi, célèbre pour avoir balancé le très savoureux Gurren Laggan et crée par la suite le studio Trigger est devenu avec le temps un des auteurs qui apportent un air frais dans le monde sclérosé de la japanimation. Avec Kill la Kill, Hiroyuki reprend plusieurs code qui lui sont chère comme le gargantuesque et la parodie. Tout est démesuré dans son univers.
On va pas se mentir cet anime ne fait pas dans la dentelle. L'intrigue est simple Ryuko Matoi après avoir perdu son père intègre le prestigieux Lycée Honnoji dirigé par Satsuki Kiryūin dans le but de découvrir qui l'a assassiné.
Une fois cette intrigue mise en place, le but de Ryuko est de botté tout les petits culs du Lycée jusqu'au big boss final. Le rythme est effréné et les combats s’enchaînent comme des pop corns.
Pour arrivé a vaincre chacun de ces personnages, elle doit découper la fibre des vêtements avec son fameux ciseaux, seul héritage de son paternel et littéralement les foutre à poil.
La ou réside la grande qualité de Kill la Kill c'est de prendre les bases du style shonen tout en prenant comme personnages principaux des femmes. Les hommes ici ne sont que des sous fifres aux bottes de ces dames. Et pour asseoir leur pouvoir ou leur soif de vengeance, elles vont éclater des immeubles a grand coups de sabres et émasculée tout ces garçons.
Alors si tu es sado-masochiste et que tu aimes les gros boobies, Kill la Kill est un veritable doigt d'honneur au shonen habituel que tu ne peux louper.