Cette série c’est comme un velouté de bonnes humeurs ! Chaque épisode de vingt minutes déborde d’énergie emporté par Leslie Knope qui se donne littéralement toujours à 200%. C’est ce qui fait que je me suis attaché au personnage, sa motivation, son envie de bien faire et son obstination. Comme tous personnages assez radicaux dans leur personnalité cela ne doit pas plaire à tous les spectateurs. D’autres préféreront l’interprétation du boss horrible, incompétent, raciste et antipathique au possible de Steve Carrel dans The Office, personnellement je préfère la joie et la passion.
Bien sûr le format est classique est très similaires à toutes les autres sitcoms. La mise en scène dynamique, les interventions individuelles face caméra et les petits regards lancé à la volée au spectateur dans des moments de gêne (dédicace à Chris Pratt, mettre dans l’art) font de l’ensemble un régal. Je salue cette série qui a réussi à me faire rire durant sept saisons, une sacré prouesse, considérant le nombre de série que j’ai vu s’essouffler avec le temps, à mon grand désarroi (pour n’en citer que quelques-unes : brooklyn nine nine, community, the big bang theory…). Sa constance dans la qualité est son principal atout, en même temps que d’avoir réussi à trouver le bon moment pour faire tomber le rideau. Ce n’est certes pas du grand art mais Parks and Recreation fait très bien ce qu’on lui demande : divertir.