bof, puis ouais pas mal, puis non en fait, puis bonne résolution de rentrée

(saison 1 et attention ça spoile sans complexe)

bof :
science fiction cheap
clichés dès le début qui se ramassent à la pelle
ode énamourée à Elon Musk et consorts vs l'administration méchante et/ou incompétente

ouais pas mal finalement :
science fiction cheap mais science fiction tout de même (oui, j'aime le genre, même si je suis constamment déçu ou presque)
Jennifer Finnigan
arc autour du projet Atlas et très bonne idée de scénario sur la météorite de Tchéliabinsk
début de réflexion intéressante autour de la théorie des jeux dans les relations internationales
les Russes ne sont pas les plus méchants et seraient mêmes plutôt raisonnables (c'est fou)
Miroir des angoisses d'une certaine Amérique face à son président imprévisible
Une allégorie mine de rien assez plaisante sur les luttes égoïstes des Etats assez mesquines au regard du réchauffement climatique

non en fait
traitre dont on ne comprend pas les motivations et juste là pour faire du rebondissement
intervention d'une partie tierce en mode SPECTRE qui veut monter les Américains contre les Russes et provoquer, devinez quoi, un conflit nucléaire.
défauts génétiques des productions américaine obsédées par le rythme, les rebondissements, le show, au détriment de la cohérence d'ensemble. Devinez quoi (bis) : le scénar part en cacahuète absolue sur la fin de la saison
clichés complotistes auxquels on ne croit pas deux secondes

bonne résolution de la rentrée :
j'arrête Netlix, ses séries pourraves et son catalogue miteux