Dogme du She;Stein

J'adore le voyage dans le temps, les histoire d'amour, les outsiders et un bonne animé avec une belle pâte graphique ça ne ce refuse pas. J'ai le profil type de la personne qui pourrait être intéresser par Steins;Gate.
Malheureusement ça n'est pas le cas et le constat est très simple, Steins;Gate n'a rien pour lui.

En quelque ligne et sans spoiler, une animation laborieuse, des composition monotone sans inspiration, des personnage qui manque de charisme voir insupportable et/ou problématique, des relations sociale forcé, un humour médiocre et un scénario faussement complexe, qui, pour les habitué au voyage dans le temps, ce distinguera qu'au 24ème épisode, sans forcément être transcendant, comparé à d'autre œuvre coups de poing

Pour ce qui ont du temps et qui ne craigne pas le spoil
Premièrement l'animation est laborieuse, énormément de cache misère, des insère à droite à gauche pour éviter de montrer l'action couteuse et complexe à animer, même pour éviter les trop long dialogue à animer, difficile de savoir si c'est l'incompétence, la flemme ou le budget du studio qui l'a pondu, car même les rare scène avec des mouvements notable sont horrible à regarder. Très loin donc d'un Neon Genesis Evangelion qui par faute de budget envoyai avec ingéniosité du lourd (surtout pour l'époque) aux moments cruciaux.
Ont peut penser qu'il est possible de rattraper une mauvaise animation avec de belle illustration, de belle composition ! Il n'en est rien, Steins;Gate est quasiment monochrome, aucune image emblématique, pas assez soignez pour être réaliste, pas assez imaginatif pour être fantastique et loin d'être assez recherché pour être contemplatif, tout les composition manque totalement d'inspiration et les rares moment qui ce veulent symbolique sont réchauffer et sans identité.
Niveau caradesign, un gros geek hackeur et des jeune femme a forte poitrine au mini jupe ou petit short, orbite au tour d'un savant fou qui porte: (attention!!) une blouse (je vous laisse vous remettre du choque)
Bon, on me dira que ça n'a jamais était le point fort de Steins;Gate. Que tout sont intérêt réside dans sont scénario, notamment encensé pour sa fin. Si vous lisez d'autre critique d'ailleurs vous pourrez constaté que beaucoup note 11-12 première épisode de build up mais qu'arrive à ce moment la tendance se renverse et ça devient vraiment intéressant après. Pour moi ce n'est pas le cas. Je suis habitué au film de voyage dans le temps, je navigue dans ce genre de narration facilement. Du coups dès le première épisode on a des indices de voyage temporel avec notamment Kurisu qui prétend avoir vu Rintaro et puisqu'on en reparle pas avant (approximativement) le 20ème épisode on sait que toute la problématique réside dans cette interaction du première épisode tout le long. Additionné à sa on voie que Rintaro enchaine les "D-Mail" sans ce soucié de l'effet papillon pendant les 11 première épisode donc quand on voie qu'au 12ème il pige finalement que ça peut avoir des conséquence grave et qu'il veux donc annuler chaque mail, pour les habitué de voyage dans le temps, deux chose se crée. Un désarroi en premier, pourquoi aucun perso n'a pigé la gravité de leurs actions (y a 3 intellectuel dans le tas quand même) et deuxièmes on comprend vite qu'on vas devoir annuler toutes les bonnes choses que ça à apporter, comme par exemple le changement au première épisode ! Pas vrais Rintaro ? Nan il pige au 20ème épisode. Aussi pendant tout le long ont insiste bien sur le fait que seul le Sern et le labo de Rintaro à une machine à voyager dans le temps, donc on comprend bien que les incident du première épisode sont crée soit pas Rintaro soit par le Sern, non ? personne ? Même au moment d'embarquer dans la machine exacte qui s'est craché juste avant le meurtre de Kurisu, Rintaro ne se demande même pas si ça pourrait être lié.
Bon si on oublie le voyage dans le temps, le caradesign, l'animation et la composition, quand est il de l'émotion ?
C'est éclaté, c'est juste ultra éclaté. Rintaro à une sorte de syndrome ou il s'imagine pourchassé par une organisation, ce qui pour moi devrait l'empêcher de pouvoir avertir efficacement les gens après ses voyages dans le temps, car il devrait être compliqué de différencié ses délire de la réalité, mais ce n'es pas le cas. Ajouté à cela sont comportement lors de ses délire est exécrable et très théâtre, ce qui le rend hyper cringe. Les discussion entre personnage sont plutôt mal écrite et semble ne rien vouloir dire au pire, ou peu convainquant au mieux. Il y a des choix très audacieux, comme un personnage qui ne parle que par téléphone car trop timide. C'est audacieux car très difficile à mettre en image sans que ça soit insupportable, un défi intéressant donc, mais raté, le personnage est insupportable. Une autre parle d'elle même à la 3ème personne et est très naïve pour ne pas dire complétement teubé. On a une américaine qui a les réaction sociale d'une japonaise. Itaru (le gros hackeur) fait des remarque déplacé pour 15 personnes comme ça Rintaro paré moins sexiste quand il embrasse de force ou met la main entre les jambes des pauvres personnages féminins (non). Itaru aura même fait 3 proposition sexuel à sa propre fille (dont une en connaissance de cause) au cours de la série.
Ajouté à celà je ne sais pas quel âge a Itaru, Rintaro à en tout cas 18 ans, mais est illustré comme un type de 20+ au contraire Mayushi en a 16 mais est illustré comme une fille de 13-14 ans donc est sur des romances un peu pédo, sur de la transphobie (même si il prétend accepté Rukako comme elle est il peut pas s'empêcher de rappeler qu'elle est née assigné homme même à la fin de sont arc narratif) et de l'inceste au détour des conversations
Ah et la musique, ça passe, de la musique générique d'anime

En conclusion une œuvre problématique qui rate tous qu'elle entreprend sauf peut être la fin qui finira par laisser indifférent à force de l'attendre, le seul effet coups de poing que j'ai ressenti, c'est tout au long du visionnage quand je me tabasser les boules