The end of the fucking world pas sûre et Skeeter Davis m'aurait sans doutes suivi sur ce point (C.f la chanson des sixties The end of the world) on est face à une série avec des acteurs qui savent ce qu'ils font certes, mais les personnages sont creux, trop stéréotypés et tout cela manque donc cruellement de profondeur. Que ce soit dans la banalité de l'intrigue du pré-ado torturé qui tue des chats ou la jeune fille rebelle qui veut fuir l'autorité parentale, une mini série sur un serial killer en puissance qui se découvre des sentiments on connait déjà, ça s'appelle Dexter. Cela n'enlève rien à l'esthétique un peu old school de la série mais il en faut plus à mon goût pour s'attacher à une série ou, il faut le dire, il ne se passe pas grand chose.