"Le problème pour les gens qui manquent d'amour, c'est qu'ils ignorent à quoi ça ressemble."
Une belle citation tirée de la saison 2 de The end of the fuck* world, saison que j'ai beaucoup aimé !
J'avais apprécié la première saison même si la fin m'avait moins emballée mais la saison 2 m'a fait ravaler cette impression.
Une saison, je trouve, centrée sur le personnage d'Alyssa qui me fascine avec sa capacité à garder un air buté en toute circonstance. Cette saison est pour elle synonyme de questionnement sur son passé, son présent et ses sentiments. James n'est pas en reste et gagne en humanité et devient très attachant.
J'ai éprouvé des sensations ambivalentes face au personnage de Bonnie. A la fois de la pitié et de l'agacement de la voir si butée dans ses idées.
Enfin, l'humour bien anglais de la série ne fait qu'embellir les plans et la photographie et le season final tout en douceur a prouvé que The end of the fuck* world n'est pas qu'une série légère mais qu'elle traite en profondeur la psychologie de ses personages.