Dans Good Doctor, on suit l'histoire d'un jeune adulte nommé Shawn Murphy atteint d'autisme de type Asperger. Une forme d'autisme rendant le contact social très compliqué pour la personne en étant atteinte. On le voit donc rentrer dans la vie active et suivre son rêve de devenir un talentueux médecin urgentiste. On voit également comment lui est survenue cette idée de profession au travers de flashbacks.
Émouvant, amusant et brillant, c'est sans doute les adjectifs les plus appropriés pour qualifier cette série qui passe par toutes ces différentes étapes autant dans les flashbacks, de moins en moins présent au fil des épisodes mais là dans les premiers, que dans les moments où Shawn interagit avec le monde, il essaie de se mettre en avant et de nouer des liens sociaux avec ses collègues mais sa maladresse et son manque d'expérience en la matière sont attendrissants et comiques.
Il fera aussi d'autres rencontres avec différentes personnes mais je tiens à ce que vous le découvrirez de vous mêmes en regardant si vous le voulez la série, d'ailleurs disponible sur Amazon Prime Vidéo.
Ça me fait d'ailleurs regretter une chose, la distribution française, car Amazon et TF1 se sont disputés les droits durant une période assez longue, ce qui fait qu'à un moment, du jour au lendemain, TF1 ne diffusait plus cette série tous les mardis soir, ni aucun autre soir, et n'ont prévenu personne et ont honteusement glissé cela sous le tapis. Je pense que c'est à cause du fait qu'Amazon voulait récupérer les droits, la négociation fut longue mais ils y parvinrent, enfin... À moitié car pendant un temps, uniquement la saison une était disponible sur Amazon Prime. Or, celle-ci avait déjà était diffusée sur TF1, la chaîne française s'étant brutalement arrêtée à l'épisode deux de la saison 2. La seule solution pour visionner la saison 2 était donc le streaming... Tout cela pour dire qu'on nous prévient sans cesse que télécharger ou regarder en streaming, c'est volé, mais une meilleure organisation des droits ne ferait pas de mal non plus car parfois, on y est contraint...