C’est mon deuxième coup de cœur cette année avec « au nom du Père ».
Une série qui adapte avec suffisamment de liberté un chef d’œuvre de la littérature fantastique en associant unldrame familial qui est le contre point de génie au volet d’épouvante extrêmement réussi avec ce qu’il faut de clins d’œil à Kubrick et à King.
A cet égard l’épisode 6 tout en plans Séquences et l’épisode 9 où la mère cours à travers la maison la cheville blessée et le regard hagard sont de très belles évocations de Shining.
Flanagan filme ses acteurs avec beaucoup d’empathie et arrive à rendre ce que peu de personnes arrivent à faire lorsqu’ils adaptent un roman de Stephen King car ils n’insistent que sur l’aspect horrifique.
Pas étonnant que Mike Flanagan réalise l’adaptation de Doctor Sleep.
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