Quand je dis cheap, ce n'est absolument pas péjoratif. Dans le cas de cette série, le cheap la caractérise entièrement. C'est la vie d'une fille cheap, qui vit dans le Queens (cheap), qui évidemment est latino, elle est moche, elle sait pas s'habiller, et elle se retrouve à travailler pour un magazine de mode.
Voilà le grand paradoxe de la série.
Sans prétention, cette série délivre une petite flopée de saisons et trouve une fin qui se tient à la hauteur de son déroulement.
Une bonne dose de mélo, de la positive attitude niaise et mielleuse, des histoires à l'eau de rose et des enquêtes improbables, cette série ressemblerait presque à un dessin animé version "réaliste".