Il y a comme ça des films que tout le monde a vu et dont on entend parler depuis longtemps, mais qu'on a toujours pas regardé... Pour moi, c'était le cas avec avec The Big Lebowski, comédie culte des frères Cohen. Comme souvent avec eux, la réalisation est parfaitement maitrisée et les personnages particulièrement typés (et drôles). Jeff... Lire l'avis à propos de The Big Lebowski
Cette mini-série anglaise de seulement 4 épisodes s'avère être une bonne surprise. L'histoire est plutôt cocasse puisque l'on suit l'émergence d'un jeune serial killer qui semble bien avoir hérité des gènes psychopathes de son père qu'il n'a pas connu (et qu'il croit mort, mais qui purge en fait une peine de prison pour meurtres). L'ensemble est bien calibré sur le peu d'épisodes présents et... Lire la critique de Born to Kill
Cette énième suite est très moyenne et part un peu dans tous les sens, jusqu'à la possession humaine au lieu de la poupée... A sa décharge, le film est bien rythmé, assez gore parfois, et certaines scènes restent amusantes (le culte de Chucky engendrant une multitude de poupées vivantes). Par contre Jennifer Tilly m'horripile toujours autant... Bref, ça se regarde mais c'est... Lire la critique de Le Retour de Chucky
Un film intime et proche par la narration (voix off pour le journal), où l'on suit l'arrivée d'un jeune curé à la santé fragile dans sa nouvelle paroisse, confronté aux tourments et la médisance des habitants du village, mais aussi à ses propres questionnements. Le film est certes peu emballant, il ne peut pas plaire à tout le monde, mais il est posé, profond et même hypnotique par moment.... Lire la critique de Journal d'un curé de campagne
On peut le dire, Les Yeux sans visage est un petit classique du cinéma d'épouvante des ces années-là, il est souvent référencé dans les listes traitant du sujet, et on peut être fier car le film est donc français, avec un Pierre Brasseur sobre et glacial dans le rôle d'un docteur aux expérimentations mortelles, sans pitié pour sauver l'apparence de sa fille.... Lire l'avis à propos de Les Yeux sans visage
Au final, Manhunt: Unabomber est plutôt une bonne mini-série. Je dis ça car je n'étais pas vraiment convaincu par le 1er épisode que j'ai trouvé moyen, un peu facile dans son scénario. Pour ne pas arranger les choses, j'ai eu du mal avec Sam Worthington, je l'ai d'abord trouvé assez mauvais dans son interprétation, mais au fil des épisodes on s'y fait, il... Lire l'avis à propos de Manhunt
Cultivant l'esprit parisian trash, avec ses influences eighties (de la new wave au goth, en passant par la pop), ORTIES propose un rap urbain, dissonant et pourtant particulièrement fluide, des paroles décadentes et un rythme enlevé, le tout avec un je-m'en-foutisme enivrant. C'est assez unique dans nos contrées... J'ai pour ma part beaucoup aimé cet album qui sera à... Lire la critique de Sextape
Cette mini-série de 6 épisodes racontant l'histoire de Grace Marks, condamnée pour meurtre, bénéficie d'une belle réalisation, avec décors et costumes dignes d'un film d'époque. C'est le genre de séries qu'on regarde d'une traite et qu'il est difficile de ne pas apprécier, avec des personnages bien campés, dont Sarah Gadon qui livre une prestation intéressante, elle... Lire la critique de Captive
Du vrai bon western en série, on ne voit pas ça tous les jours, c'est forcément appréciable, d'autant plus que la réalisation est au rendez-vous avec une belle photographie et une mise en scène soignée, chaque personnage apportant sa touche personnelle à l'histoire. Le scénario reste relativement classique avec le héros assez solitaire, la romance indispensable mais toute en retenue, la bande... Lire la critique de Godless
Une bonne conclusion pour une trilogie homogène, divertissante et de bonne qualité. Même si j'ai toujours du mal avec le concept "méchants hommes contre gentils singes" que je trouve un peu facile, ce 3ème opus apporte une petite touche d'espoir avec cette petite fille, lien symbolique entre le singe et l'homme. Mais clap de fin et c'est bien comme ça, une quadrilogie aurait été excessive. Lire la critique de La Planète des singes : Suprématie