Les films avec les meilleurs dialogues selon Travellings

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Le Roi Louis XVI : Faites-nous un mot, là, au débotté. Sur moi par exemple.
Ponceludon de Malavoy : Sire, le roi n'est pas un sujet !

Abbé de Vilecourt : (après que les rires se fussent calmés) Joignez-vous à notre partie, si le cœur vous en dit ! Nous jouons à dix sols le point.
Ponceludon de Malavoy : Les boucles d'argent de mes souliers sont ma seule richesse. Mais… vous pouvez les estimer de plus près, en vous courbant bien.

Abbé de Vilecourt : (apercevant puis goûtant des groseilles) Oh, des groseilles ! J'en mangerais autant que Samson a tué de Philistins !
Marquis de Bellegarde : (plus tard, en y repensant) Avec la même mâchoire Monsieur, une mâchoire d'âne !

M. de Bellegarde : (son chapeau s'envolant) Oh ! C’est mon chapeau. J'ai perdu mon chapeau.
Le Lord anglais : Cela vaut mieux que la tête.

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Numérobis : Je suis mon cher ami, très heureux de te voir.
Panoramix : C'est un Alexandrin !

Panoramix : C'est une bonne situation, ça, scribe ?
Otis : Mais vous savez, moi je ne crois pas qu'il y ait de bonnes ou de mauvaises situations. Moi, si je devais résumer ma vie, aujourd'hui avec vous, je dirais que c'est d´abord des rencontres, des gens qui m'ont tendu la main peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j'étais seul chez moi. Et c'est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée. Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l'interlocuteur en face, je dirais le miroir qui vous aide à avancer.
Alors ce n'est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi au contraire j'ai pu, et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie, je ne suis qu'amour. Et finalement quand beaucoup de gens aujourd'hui me disent : « Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? » eh bien je leur réponds très simplement, je leur dis : « C'est ce goût de l´amour », ce goût donc, qui m'a poussé aujourd'hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi.

Numérobis : C'est trop calme… J'aime pas trop beaucoup ça… J'préfère quand c'est un peu trop plus moins calme.

Numérobis : Et le mec, il lui dit c'est le phare à "On", parce qu'il s'appelle "On", le mec… Le mec, il s'appelle "On", et "On" il a un phare, c'est son appartenance. Il lui dit c'est le phare à "On" !… Le mec ! Il s'appelle "On" ! Il lui dit c'est son phare ! Et bah le Pharaon ! Qui est comme le chef de nous !

Amonbofis : Viens me le dire de profil si tu es un homme!

Caius Céplus : Nul ne peut bafouer l'empire romain ! Quand on l'attaque, l'empire contre-attaque !

Numérobis : Il est bizarre ce sol, il est pas palpable.

Astérix : C'est quoi ces lumières là-bas au loin ?
Panoramix : C'est les lumières du port d'Alexandrie…
Astérix : … font naufrager les papillons de ma jeunesse.
Panoramix : Hein ?
Astérix : Non, je ne sais pas pourquoi je dis ça…
Obélix : J'ai faim… en tout cas, j'ai plus d'appétit qu'un barracuda.
Astérix, Obélix : Bar-ra-cu-da !

Une ouvrière : (Voyant Itineris chercher par terre) Qu'est ce que tu cherches ?
Itineris : J'ai perdu ma lentille.

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César (à Panisse) : Tu me fends le cœur. (Marius)

César : Si on ne peut plus tricher avec ses amis, c’est plus la peine de jouer aux cartes. (Marius)

César : Eh bien, pour la dixième fois, je vais te l'expliquer, le picon-citron-curaçao. (Il s'installe derrière le comptoir.) Approche-toi ! (Marius s'avance, et va suivre de près l'opération. César prend un grand verre, une carafe et trois bouteilles. Tout en parlant, il compose le breuvage.) Tu mets d'abord un tiers de curaçao. Fais attention : un tout petit tiers. Bon. Maintenant, un tiers de citron. Un peu plus gros. Bon. Ensuite, un BON tiers de Picon. Regarde la couleur. Regarde comme c'est joli. Et à la fin, un grand tiers d'eau. Voila.
Marius : Et ça fait quatre tiers.
César : Exactement. J'espère que cette fois, tu as compris. (Il boit une gorgée du mélange)
Marius : Dans un verre, il n'y a que trois tiers.
César : Mais, imbécile, ça dépend de la grosseur des tiers !
Marius : Eh non, ça ne dépend pas. Même dans un arrosoir, on ne peut mettre que trois tiers.
César (triomphant) : Alors, explique-moi comment j'en ai mis quatre dans ce verre !
Marius : Ça, c'est de l'Arithmétique. (Marius)

César : César (à Marius) : Quand on fera danser les couillons, tu ne seras pas à l'orchestre. (Marius)


Panisse : En Turquie il n'y a pas de cocu. Il n'y a que des veufs. (Fanny)

Panisse : Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors n'achetez pas un bateau : achetez une île ! (Fanny)

Honorine : Quand on n'a pas d'enfants, on est jaloux de ceux qui en ont et quand on en a, ils vous font devenir chèvre ! La Sainte Vierge, peuchère, elle n'en a eu qu'un et regarde un peu les ennuis qu'il lui a faits !
Claudine : Et encore, c'était un garçon ! (Fanny)

César : Pardi ! Si les péchés faisaient souffrir quand on les fait, nous serions tous des saints. (César)

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Vincent : Adolf a tué Adolphe.

Elisabeth : Alors moi, je vais prendre mon aigreur, mon dégoût et ma rancune, et tous les quatre ont va aller se coucher en vous laissant la vaisselle pour une fois. Pierre, tu es sur le canapé, tu y restes. Si les enfants pleurent, c'est pour toi. Moi, je vais prendre une boîte de temesta et dormir pendant 2 jours. Allez tous vous faire foutre et bonne nuit.

Vincent : C'est la seule femme que je connaisse qui est commençait à fumer pendant sa grossesse !
Stresse pré-natal, ou autre....
-Mais c'est pas bon pour ton fils !
-Et bien tu lui dira.
-Mais il risque d'être tout petit !
-Eh bien il sera joker.

Elisabeth : Salut maman, écoute heu, très très chouette. L’ambiance était très bonne oui oui. Le dîner était très bon. Oui, oui oui j’ai suivi ta recette oui tout le monde s’est régalé, j’ai le plat entre les mains il n’en reste plus une miette. Les raisons,non, non non ni gonflés ni fripés, peut être un peu écrasés maintenant qu’ils sont sur le tapis. Ah pourquoi ? Ben , ce serait peut être un peu long de rentrer dans les détails mais en gros, après que Vincent nous ait annoncé qu’il voulait appeler son fils comme Hitler, le dictateur maman, lui et Anna qui est encore arrivée avec une bonne heure de retard, nous ont avoué qu’ils trouvaient les prénoms de nos enfants ridicules. Ben tu vas me dire, c’est pas grand-chose à côté du meurtre de Moka . Mais quand même ! Moka maman. Le chien de Bibiche. Voilà ! Ah, j’oubliais, ton fils chéri qui ne peut pas blairer les Rosental et tonton Hector pense venir à la Castide le week-end du 36-37. Ben remarque maintenant qu’il a pété le nez de ton amant il a peut-être changé d’avis. Et ben de Claude maman. Pourquoi, tu ben as d’autres ? Mais j’te le passe ! C’est maman.

Vincent : J’ai juste voulu faire une blague !

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François Pignon : C'était votre sœur.
Pierre Brochant : J'ai pas de sœur.
François Pignon : Vous n'avez pas de sœur ? Je lui ai dit qui est à l'appareil, et elle m'a dit : « sa sœur ».
Pierre Brochant : Il a appelé Marlène !
François Pignon : C'est pas votre sœur ?
Pierre Brochant : C'est son nom, Sasseur. Marlène Sasseur.
François Pignon : J'pouvais pas savoir, moi. Elle me dit : « C'est Marlène Sasseur. » Avouez que c'est confusant.

Pierre Brochant : Il s'appelle Juste Leblanc.
François Pignon : Ah bon, il a pas de prénom ?
Pierre Brochant : Je viens de vous le dire : Juste Leblanc.
François Pignon : …
Pierre Brochant : Leblanc, c'est son nom, et c'est Juste, son prénom.
François Pignon : …
Pierre Brochant : Monsieur Pignon, votre prénom à vous, c'est François, c'est juste ?
François Pignon : Oui…
Pierre Brochant : Eh bien lui, c'est pareil, c'est Juste.
François Pignon : …

François Pignon : il est méchant monsieur brochant il est mignon monsieur pignon

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L'Oiseau : Mesdames, mesdemoiselles, messieurs. Oh ! pardon. (Il retire son chapeau.) L'histoire que nous allons avoir l'honneur et le plaisir de vous conter est une histoire absolument vé-ri-dique. Parfaitement elle est véridique ! Elle m'est arrivée à moi, et à d'autres en même temps. C'était l'époque heureuse où j'avais bâti mon nid tout en haut du grand palais de l'immense royaume de Takicardie. À cette époque régnait encore le roi Charles V et III font VIII et VIII font XVI de Takicardie... Ça n'était pas un bon roi. Il détestait tout le monde, et tout le monde dans le royaume le détestait aussi... La solitude et la chasse étaient ses passe-temps favoris.

Le monde est une merveille,
il y a le jour et la nuit
Y'a la lune et le soleil
Les étoiles et les bruits
Et des moulins à vent, il y en a aussi
Le monde est une merveille
Il y a le jour et la nuit
Y'a la mer qui est profonde
Y'a la Terre qui est toute ronde !

Le monde est une merveille,
il y a le jour et la nuit
Y'a la lune et le soleil
Les étoiles et les bruits
Et des moulins à vent, il y en a aussi
Le monde est une merveille
Il y a le jour et la nuit
Y'a la mer qui est profonde
Y'a la Terre qui est toute ronde !

L'âne, le roi et moi,
Nous serons morts demain
L'âne de faim, le roi d'ennui, et moi d'amour
L'âne, le roi et moi,
Nous serons morts demain
L'âne de faim, le roi d'ennui, et moi d'amour
Au mois de mai
La vie est une cerise,
La mort est un noyau,
L'amour un cerisier.

Un petit garçon (entre en courant) : Ils arrivent, ils arrivent, les voilà !
Un homme : Les voilà qui ?
Le petit garçon : Les oiseaux !
Un autre homme : Enfin ! Les oiseaux ! nous sommes sauvés !
(Les lions, l'Oiseau, le Ramoneur et l'ours guidant l'Aveugle paradent dans la rue.)
Des voix : Vive les oiseaux !
L'Oiseau : Parfaitement les amis ! Nous voilà, les oiseaux !
(Les vivats continuent.)
Une vieille femme à sa fenêtre : C'est curieux, je les voyais pas du tout comme ça moi, les oiseaux.

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http://www.topito.com/repliques-arrive-pres-de-chez-vous-poelvoorde-genie-tas-une-sale-gueule-quand-tu-ris

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Le prince : Ce qu'ils fabriquent et ce qu'ils construiront. Ce qu'ils font et ce qu'ils feront. Tout cela n'est que déception et mensonge. Ce qu'ils pensent et ce qu'ils penseront est ridicule. Ils pensent parce qu'ils ont peur. Et celui qui a peur ne peut rien comprendre. Il dit aussi Qu'il aime ça, les choses en décomposition. Toutes les ruines contiennent déjà des fondations. Une seule émotion pour la destruction, implacable, mortelle. Nous n'avons pas trouvé le véritable objet de notre terreur et de notre désespoir ; nous nous sommes rués sur tout ce que rencontrait l'étendue de notre fureur.

Annotation :

Cyrano : C'est très bien. J'aurai tout manqué, même ma mort.

Cyrano : C'est un roc!... C'est un pic!... C'est un cap!... Que dis-je, c'est un cap?... C'est une péninsule !

Annotation :

Yolande : A quoi ça sert de garder un chien paralysé ?
Denis : C'est décoratif. C'est comme un tapis, mais vivant.
Yolande : Ah oui, c'est vrai.

Yolande : Mais Kevin, oh écoute. Je n'en peux plus. Il ne cherche qu'à me contrarier. Tu sais ce qu'il m'a fait mercredi ? Une otite.

Yolande : C'est pour les enfants que ça doit être dur. Heureusement qu'ils n'en ont pas.

Yolande : Mais c'est beaucoup trop luxueux pour un chien !

Denis : Aboie pour voir?

Annotation :

Winston Wolfe : C'est à une demi-heure d'ici. J'y suis dans dix minutes.

Vincent Vega : Motus et bouche cousue ? Ça baigne. Excuse-moi, je vais rentrer chez moi faire ma crise cardiaque.
Mia Wallace : Trois tomates se baladent dans la rue. Papa tomate, maman tomate et bébé tomate. Bébé tomate traîne, regarde les belles nanas. Papa tomate se met en rage, lui balance une claque et lui dit : « Qu'est ce t'as ? T'es tout rouge. »

Annotation :

Nobody : La lame trancherait ton cœur et l'esprit s'envolerait..

Nobody : et tu seras conduit au prochain niveau du monde.

Nobody : là où la mer rejoint le ciel.

Vendeur : Puisse Dieu vouer ton âme aux flammes de l'enfer.
Blake : Il l'a déjà fait.

Blake : Est-ce le bateau qui me fera traverser le miroir de l'eau?