Les films avec les meilleurs méchants selon Aude_L

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L'un des premiers rôles de Ralph Fiennes, époustouflant et viscéralement choquant : un méchant qu'on rêve de prendre au cou.

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On ne le voit que 20 minutes sur 2h, et pourtant on ne retient que lui. Well, Clarice...

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On ne verra plus jamais Mireille Mathieu comme avant...

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On pourrait discuter des heures de l'intentionnalité (méchant ou anti-héros qui lutte dans un contexte sociétal pourri jusqu'à la moelle ?), mais ce Joker-là remporte notre Palme haut la main.

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Norman Bates est certainement le méchant d'Hitchcock qui illustre le mieux l'envie de faire un méchant d'anthologie. Instantanément culte.

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Et en plus, il cite Hithcock, le bougre.

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Moins on repère le méchant, plus il est dangereux. L'Exemple avec cet effroyable M le maudit.

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On a peur de tout ce qui est rouge rayé vert après ce film...

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Instantanément culte, cette fillette est un cauchemar ambulant.

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On a aussi aimé ses remakes, mais cette version est celle qui nous a fait fuir les clowns toute notre enfance...

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On ne repère pas la méchanceté inouïe ("non, ce n'est pas lui, ce n'est pas possible..."), on ne la comprend pas, et c'est ce qui est bluffant avec "Kevin". Après M le maudit, un autre "innocent" tortionnaire très dangereux : et de 2.

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Plus il semble innocent, plus il est dangereux : et de 3.

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"Plus il semble innocent...", bref, vous avez compris. Et de 4.

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Dans la catégorie des méchants complètement dingos et hilarants : "I'm a sweet transvestite...". Culte.

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Dérangeant, le Doc'... On a tiré sur notre col quelques fois.

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Faut se méfier des gentilles ménagères qui aiment leur idole...

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Un méchant écœurant, on en arrive à être ravi de la violence de son sort final (on tombe bien bas, mais Sin City est très malin pour provoquer la colère furieuse avec son méchant).

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La rock-star du film, on adore.

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Joyeusement décadent, on adore.

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D'autant plus dérangeant qu'il a réellement existé.

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Claude Rains a enterré tous les remakes futurs dès cette première version, en étant époustouflant (son rire dément !).

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Un peu de méchants sadiques mais le petit doigt levé ? Madame de Merteuil et Valmont vous tendent les bras... "Ce n'est pas ma faute", notre passage préféré, excellemment joué par John Malkovich (pour ceux qui n'ont pas lu le roman : en oubliant volontairement le "de" avant "ma faute", Valmont indique qu'il n'en pense pas un mot, ce grand orateur fait une faute grammaticale pour dire l'inverse : il le sait, il est coupable, et en plus il s'en amuse en se payant la tête de ceux qui écoutent ses fausses excuses... Diabolique).

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Immortan Joe, à la hauteur de la claque qu'on s'est prise avec ce film.

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Entamons à présent la catégorie des méchants qui sont irrésistiblement drôles : ici un méchant qui a un trou dans la gorge qui fait un bruit de Dark Vador (pas pratique pour attraper la fille). Avec un petit foulard en soie, s'il-vous-plaît.

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Lord Farquaad : qui a un truc à compenser.

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Charmant, avec son brushing d'enfer.

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"J'ai vu l'Exorciste 2747 fois ! A chaque fois je me marre comme un bossu, qu'est-ce qu'il est chouette ce film... !". On aurait pu dire pareil de toi, Beetlejuice.

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Le tueur à la saucisse de Morteau. Ou à la faucille et au marteau (meurs, pourriture communiste !) : on n'en peux plus de rire.

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Elles sont si mignonnes, ces mamies... Surtout, n'acceptez pas leur thé. A mourir de rire.

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"Madame Tweedy, les poules j'en ai par-dessus la tête !" - "Pour une fois que nous d'accord...". Les méchants des enfants, et des parents.