Les films les plus obscurs selon titouan_

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Kenneth Anger, où le cinéma "j'ai-rien-compris" par excellence, saupoudré de satanisme et d'occultisme, avec divinités égyptiennes et un monsieur tout nu.

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Après la semi déception que fut "Mulholland Drive" et l'insipide "Une Histoire vraie", "Inland Empire" m'est apparu comme le véritable David Lynch que j'attendais. 3h de mindfuck total, incompréhensible mais quand même un peu, et un immense travail d'atmosphère

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Montage fragmenté, histoire quasi-incompréhensible

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Abstrait, psyché, nonsensique, sombre et terriblement angoissant.

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Probablement ma séance de cinéma la plus éprouvante. Le film n'est pas dénué de qualités, mais son déroulé est lent et c'est insupportable.
Silences, mise en scène ultra-sobre, lenteur, microcosme ... Pas vraiment facile d'accès !

EDIT : voir plus de ses films, s'habituer à la lenteur, et découvrir la beauté. Obscur oui, car lent, apocalyptique, désespéré et austère.

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LE film obscur par excellence, par LE réalisateur obscur (ou du moins le plus populaire et grand public, si l'on considère les résultats du sondage). Mais bon : je l'ai vu une fois, comme tout le monde j'ai pas compris, j'ai bien aimé, mais j'ai pas cherché

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Un film post-apo mais surtout un film de Tarkovski, donc obscur ! C'est lent, implicite dans son propos, mais plus accessible que les deux autres plus haut dans le classement.

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Le déluge wtf de Bertrand Mandico, c'est visuel, drôle, organique, un fil narratif ténu mais qui surprend, comme du vrai cinéma expérimental.

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Un peu obscène, enquête difficile à comprendre, moments oniriques à souhait et expérimentations visuelles.

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Dans sa lenteur et son trip psychédélique un peu trop long et parfois raté à mon goût : le vortex coloré et la chambre c'est beau, les plans colorés à outrance sur les yeux et sur du relief montagneux (je crois ?) c'est juste moche. Contemplatif, rigoureux, mystérieux.

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Film psyché qu'il est tout sage par rapport à son matériau de base. Mais quand même, c'est sale et anxiogène.

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Obscur ? Je ne sais pas vraiment ... Mais tout de même : non-narratif, non-linéaire, un peu expérimental et un commentaire parfois abscons et très littéraire (et Arielle Dombasle qui chante).

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Un peu lent, un peu pluvieux, un peu terne et complètement barré

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Un peu barré, très organique, un peu glauque, transgenre, psychédélique

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Difficile à supporter mais jusqu'au-boutiste, Aronofsky plonge le spectateur dans l'enfer de la drogue, dans ce qu'elle a de plus ravageur.

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Obsène, malsain, voyeur, anxiogène et long.

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Contemplatif, violent, un fil narratif ténu, peu de dialogues
(Et ça marche aussi avec Only God Forgives, avec un complexe d'Œdipe en supplément)

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Narration obscure, hystérique, personnages sous influences, danses interminables sous musiques techno incessantes. Violences et sensualité.

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Bon ... Là, c'est le cinéma expérimental un peu vide, un peu chiant, un peu drôle, un peu créatif, bref vous avez compris l'idée. Pas de fulgurance, juste Matthew Barney qui fait son truc, à vous de voir si vous regardez jusqu'au bout.

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Kaléidoscope d'images, film psychédélique, distordu, trop saturé, trop contrasté, objet d'art plus que film, narration inexistante et voix entremêlées en une grande cacophonie de sons de près d'une heure trente.

Annotation :

Split-screen, images issues de films muets, final stroboscopique et agressif pour les tympans, sorcières, hurlements et un chaos ambiant.