Les meilleures séries de 2019 selon Death Watch

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Chernobyl revient sur l’un des drames les plus marquants de l’Histoire de l’humanité, mais aussi sur les multiples mensonges visant à nier une catastrophe de grande ampleur.

Scénario, dialogues, jeu d’acteurs, ambiance, photographie, la mini-série s’immisce à un niveau digne du cinéma. Elle englobe une approche documentaire, une complexité d'écriture, et une certaine exigence dans son ambition de narrer l'événement de la manière la plus réaliste possible.

La série n'épargne aucun détail, nous plongeons dans la souffrance lente, dans le sacrifice d'une population, sans rejeter la dictature de la pensée qu'imposait les élites.

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Loin d'un The Walking Dead répétitif et sans scénario, nous ne sommes pas dans un futur post-apocalyptique où les zombies correspondent à un thème vu et revu.

Le décor atypique de la Corée féodale permet d'oublier les productions américaines et d'être rapidement charmé par la beauté des paysages coréens. Davantage qu'une énième série de zombie, le cœur de l'intrigue développe plusieurs cas de figure dans ce royaume imparfait où règne la corruption. Il y a les pauvres qui meurent de fin, les riches qui s'engraissent, et les morts qui dévorent les vivants.

Si cette série nous ramène au temps des combats de sabre et exploite quelques splendides plans lors des affrontements, elle se veut aussi intelligente et aborde de nombreux sujets. En l'occurrence, Kingdom apparaît comme un OVNI dans le monde zombie.

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Love, Death & Robots compile dix-huit épisodes, chacun avec une intrigue différente entre horreur, violence, science-fiction et humour noir.

Parfois absurde, cette série demeure dans son ensemble distrayante et inventive, même si la qualité des épisodes varie fortement.

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L'histoire d'un bombardier de la seconde guerre mondiale remplissant ses obligations de soldat et souhaitant rentrer chez lui.

Malgré son devoir accompli, ses supérieurs mettent en place toutes les courbettes possibles afin d'empêcher sa démobilisation. S'ensuit l'élaboration de divers stratagèmes afin de mettre en échec la malice des hauts gradés de l'armée Américaine.

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Plusieurs évènements associés à une possible visite des extraterrestres sur Terre se sont produits. La série se base sur des faits réels et de véritables archives top secrètes.

Project Blue Book s'engage à dévoiler la vérité au milieu de la désinformation gouvernementale, des mystères, et des canulars. Pour cette mission, le Docteur Hynek et le Capitain Quinn fouinent dans les affaires non classées des années 50.

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Dans Miracle Workers, on parle d'un Dieu incompétent (Steve Buscemi) et d'un employé chelou (Daniel Radcliffe) qui travaillent dans une entreprise unique : le paradis.

Miracle Workers tourne en dérision l’humanité et balance quelques blagues sur les croyances religieuses, tout en faisant de la gestion de la planète Terre une sorte de complexe industriel.