Les meilleurs albums de 2019 selon Laughing Stock

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Une totale réussite
L'album de la fraîcheur, là où tous les autres s'embourbent dans la morosité ou la mélancolie. Un album indispensable

Il m'aura fallu du temps, accepter l'évolution, et puis enfin la lumière, lorsque l'album se révèle à toi, tu deviens accro.

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Album découvert en 2019. Jonathan Bree est un ovni classe, venant probablement de la planète Crooner. Sa voix m'évoque parfois Neil Hannon de Divine Comedy ou le chanteur de The National. Les arrangements pop de chambre sont classe, voluptueux, aérés et sensuels.

Jonathan Bree est mon nouvel ami

2022 : Je viens de le voir au Heimathafen de Berlin, le concert était d'une précision incroyable. Son chant parfait, une présence scénique de tous les musiciens vraiment travaillée, les danseuses incroyables : un vrai show, et une dynamique d'enfer. C'était le concert à voir !

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Du folk drone qui vire à du Steve Reich....ça alors

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Cuvée 2019 de Philippe Katerine.
C'est un album drôle, pertinent, et impertinent. Il nous livre des textes malins et des musiques fun.
Un régal

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L'album le plus étonnant de Neil Hannon, où il se fait plaisir. D'apparence atypique, la seconde partie de l'album nous plonge dans un vibrant hommage aux travailleurs du monde entier, avec une gravité proche de "Fin de siècle", alors que l'album avait commencé avec humour et second degré.
Neil Hannon nous montre une facette plus fouillée dans le son, toujours aussi drôle, toujours aussi émouvant.

Et mention spéciale à "Philip & Steve's furniture removal company", combinant l'art des deux parrains de la musique répétitive contemporaine et américaine, Philip Glass et Steve Reich. Sur un motif rythmique de 9 temps, Neil utilise le "phasing" de Steve Reich ("Piano phase", "It's gonna rain"), où on entend aussi ses utilisations typique du Marimba ou du Clapping hands. Puis vient se juxtaposer malicieusement les orgues répétitives de Phillip Glass ("Dance", "Einstein on the beach"), puis l'enrichissement par les cordes typique de Glass ("The photographer")
C'est répétitif, vibrant et cathartique. Magnifique

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Album que j'ai découvert en Janvier 2019

Dirty Projectors nous livre un album frais, ludique, créatif
Après un précédent album triste et tournant autour de sa rupture avec sa compagne et (ancienne) chanteuse du groupe, Dirty Projectors se tourne vers la vie et produit à mon sens un album pleinement jouissif.

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Un piano...et la sensibilité de Tigran...
Ce qui est intéressant pour cet album, c'est que c'est plus épuré.
Et Tigran chante à nouveau
C'est comme un rêve, une berceuse

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A force de faire des allers et retours, il fallait bien s'y attendre. Sufjan Stevens largue tout et fait de la musique classique contemporaine, et laisse un pianiste interpréter sa musique, Timo Andres.
Et c'est excellent

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Imaginez Magma avec pleins de nouvelles références
La relève, je vous dis. Incroyable

et merci à Epitaph, notre gardien du temple sur SC

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Formidable.
Un harmonium, une voix, des instruments hétéroclites, un voyage, une vivante en prise directe.
A découvrir, c'est prenant, émouvant, c'est la vie qui coule entre nos mains.

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Into the limbs...

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Bon, c'est une découverte 2019, pour être plus exact...mais comment passer à côté de cette musique contemporaine qui m'évoque à la fois Steve Reich et la pop de chambre de "Laughing stock" ?

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Superbe album, superbe titre

Toujours la voix sensuelle, grave et amicale de Matt Berninger. Nous avons toujours affaire à une pop raffinement structurée, avec cette fois plus d'électronique.

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Encore un ovni avec plusieurs featuring, dont la voix du légendaire chanteur de Yes, Jon Anderson (sur "Sugar foot")

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Mon dieu ce live...avec cuivres et tout...un vrai héritage de la soul

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On y trouve de beaux moments. On peut cependant regretter le côté patchwork, le fait que l'album ait été enregistré par tant de différentes personnes...puis certains sons sonnent un peu passés aujourd'hui, comme la basse fretless, ça fait un peu démodé