Les meilleurs films d'Alan Parker selon Freddy K

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Si Alan Parker cite souvent Pink Floyd The Wall comme son pire souvenir de cinéma c'est à cause de son tournage éprouvant et écrasé par les exigences de Roger Waters.
Pour moi le film est un pur chef d'oeuvre , un immense poème rock gavé d'idées géniales de mise en scène qui sublime l'album mythique de Pink Floyd. Le film est surtout l'association miraculeuse de 4 génies avec Alan Parker à la mise en scène, le chanteur Bob Geldof absolument génial dans le rôle de Pink , fatalement Roger Waters à la partition et Gerald Scarfe pour les séquences d'animation....

J'ai du voir le film plus de vingt fois et il me colle toujours la chair de poule. Vivement qu'un éditeur est la bonne idée de sortir le film dans une édition blu-ray voir 4K , je vais finir par usé le DVD.

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Une histoire d'amitié brisé par la guerre du Vietnam , une histoire de folie comme ultime échappatoire à la folie des hommes. Encore un immense film porté par ses deux interprètes Nicolas Cage dans un de ses plus beau rôle et Matthew Modine. La musique est toujours importante chez Alan Parker et Birdy est sublimé par la musique planante de Peter Gabriel et la photographie de Michael Seresin.

J'ai beau le connaître Parker , le film me laisse toujours en larmes.

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Une nouvelle fois Alan Parker nous offre une très grand film. Pour sa seule incursion dans le domaine du fantastique il nous offre un thriller horrifique et psychologique porté par d'immenses acteurs.
Mickey Rourke alors à l'apogée de sa carrière affronte De Niro lors de quelques scènes mémorable et le film nous plonge dans l'ambiance poisseuse d'un film noir sur fond de rites vaudou de la Nouvelle Orléans. Véritable descente aux enfers le film comporte des moments de grâce comme la scène de cul digne d'un sabbat satanique entre Mickey Rourke et Lisa Bonet sur la musique hypnotique de Trevor Jones. Une nouvelle fois le film baigne dans le magnifique travail du directeur de la photographie Michael Seresin. L'un des plus beau rôle de Mickey Rourke avec L'année du Dragon de Cimino.

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Les ingrédients d'un très bon Alan Parker sont une nouvelle fois tous réunis Dans Mississippi Burning.
Pour commencer le film possède un casting absolument génial jusque dans le moindre second rôle avec Gene Hackman, Willem Dafoe, Brad Dourif, Frances McDormand , Michael Rooker , R Lee Hermey , Pruitt Taylor Vince et Kevin Dunn. Ensuite le film traite d'un sujet fort avec la ségrégation et les agissement du Klu Klux Klan avec une force et une émotion qui prend aux tripes. Quant à la bande originale elle se partage entre la puissante composition de Trevor Jones et des morceaux de blues et de gospel à vous tirer les larmes.

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Une des œuvres emblématique d'Alan Parler et véritable film culte des seventies, Midnight express scénarisé par Oliver Stone et tiré d'une histoire vraie raconte le calvaire d'un jeune américain arrêté à la frontière turque avec plusieurs kilos de drogue et plongé dans l'enfer des prisons du pays.

Film polémique pour son prétendu racisme à la lumière d'une ligne de dialogue souvent sortie de son contexte, Midnight express est un film coup de poing sur l'enfermement et l'injustice. Porté par un Brad Davis habité comme jamais, le film permet également de voir un grand John Hurt. Film coup de poing Midnight express réserve une nouvelle fois son lot de scènes inoubliables comme celle du procès ou le parloir entre Billy et sa femme .... Une nouvelle fois la photographie de Seresin est superbe et la bande originale signée Moroder est carrément devenue un classique.

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Une comédie revigorante sur fond de soul à l'irlandaise voilà ce que nous propose Alan Parker avec The Commitments.

Si le film est bien plus léger qu'une bonne partie de sa filmographie il n'en demeure pas moins une véritable réussite. Porté par la révélation Andrew Strong, on suit avec beaucoup de plaisir l'histoire de ce groupe super attachant qui à mesure qu'il devient de plus en plus performant dans sa musique se perd de plus en plus de sa complicité.

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Le premier film d'Alan Parker est une comédie musicale et un film de gangsters dont la particularité est que tous les acteurs sont des gosses.
Flingues à petits suisses, voitures à pédales et costumes de mafiosos des années 30, le film ressemble à une grande cour de récréation mais la fraîcheur de l'ensemble et la qualité des numéros musicaux suffit largement à emporter l'adhésion.
A la fois hommage aux films de gangsters et à l'age d'or des comédies musicales , Bugsy Malone permet de passer un super bon moment avec entre autres plaisirs Jodie Foster

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L'usure du temps (Shoot the moon) est sans doute l'un des films les plus classique de son réalisateur, c'est peut être aussi le film le plus personnel d'Alan Parker.
Cette histoire de couple et de divorce parfois bouleversante possède la noblesse des grands mélodrames. Le couple au centre de l'histoire est interprété avec beaucoup de justesse et d'émotion par Albert Finney et Diane Keaton. Plus naturaliste et moins visuellement flamboyante la photographie de Michael Seresin fait une nouvelle fois merveille dans es douceurs automnales et mélancoliques.

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Fame propose une plongée au cœur d'une école d'art de New York destiné à engendrer de futurs musiciens, danseurs, comédiens et artistes de music hall. La force du film est sans doute de montrer à quel point devenir artiste demande non seulement du talent mais aussi des sacrifices, de la sueur, du travail, du sang et des larmes.

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Sept ans après The Commitments , Alan Parker retrouve l'Irlande mais de façon beaucoup moins feel good. Les cendres d'Angela raconte le quotidien d'une famille pauvre dans l'Irlande catholique des années 30. Chômage, alcoolisme, malnutrition, pauvreté le film est un drame poignant traversé tout de même de quelques touches d'optimisme comme des respirations dans un univers suffocant. Le couple que forme à l'écran Robert Carlyle et Emily Watson est vraiment formidable Toutefois le film ne m'a pas laissé un souvenirs aussi impérissable que les autres œuvres de Parker.

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Avec Come see the paradise Alan Parker s'attaquait à un sujet fort et peu connu de l'histoire des Etats Unis avec l'internement dans des camps de prisonniers de millions de japonais suite à l'attaque de Pear Harboor. Je garde le bon souvenir d'un film touchant mais peut être trop classique et loin des fulgurances de son metteur en scène.

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Ce plaidoyer contre la peine capitale aux USA ne m'avait pas franchement convaincu malgré son très beau casting avec Kevin Spacey et Kate Winslet.

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J'ai vu Aux bons soins du docteur Kellogs et je n'en garde aucuns souvenirs, du coup je lui colle un 5/10 presque par défaut. Pour un réalisateur qui aura marqué au fer rouge mon imaginaire et ma mémoire de cinéphile, ne plus laisser le moindre souvenir peut être vraiment considérer comme le chant du cygne.