Les meilleurs films de Luc Besson selon Muffinman

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Premier film. Besson a des choses à prouver.
Son film le plus sincère.
Donc le meilleur. Merci Jolivet.

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C'est tout de même rageant : la seule fois que Besson réalise un film valable sans trop d'écueils*, on peut compter sur cet âne de Serra pour rabaisser la qualité générale du film.
Avec HIGHLANDER et LADYHAWK, NIKITA est un parfait exemple de film ruiné par sa B.O.

*: La séquence du supermarché est toutefois du pur Besson-débile. Et pourquoi Nikita et le nettoyeur restent comme des cons à discuter sur le perron de l'ambassade au lieu de se barrer ?

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Le plus sobre de sa filmo, malgré une certaine complaisance et des effets pathétiques parfois trop appuyés (l'emploi de la musique de Mozart notamment).

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Luc Besson a cette capacité incroyable de fabriquer des films jetables : il est possible de les apprécier la première fois qu'on les voit, mais au deuxième visionnage on se demande ce qu'on avait bien pu leur trouver et on les jette.

Il vaut bien évidemment mieux lire la BD de Tardi (les quatre premiers tomes seulement). Bon casting (sauf peut-être pour Bourgoin que pourtant j'aime bien).

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Le film a mal vieilli, mais comme Besson n'a pas encore ses gimmicks insupportables (genre dialogues idiots à l'américaine en cours d'action), ça se laisse regarder... une fois tous les vingt ans. Pas plus.

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Une sobriété inhabituelle dans la réalisation et quelques séquences très réussies, mais quelque chose de très faux (et d'assez indéfinissable) dans le fond. Et puis certaines lourdeurs (dans le message simpliste et le jeu de Rasmussen) nous rappellent qu'on regarde un film de Besson, avec tous les défauts que cela implique.
Dommage.
Joli, mais dommage.

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Qu'on le veuille ou non, Luc Besson est un auteur !
Ben oui.

Sa patte est reconnaissable entre mille, contrairement à tout un tas de gens estampillés "auteurs" (comme si c'était une qualité en soi*) dont on ne reconnaîtra jamais une personnalité derrière leurs films et dont on dira seulement en les voyant "tiens, un film français !" au lieu de "c'est un film d'untel ou d'untel".

Au cinéma, un auteur est l'auteur du FILM FINI ; pas seulement l'auteur d'un scénario qu'il mettra lui-même en images. Et Besson, qu'on le veuille ou non, est un auteur de films. Et LUCY est un pur film de Besson. Pas aussi pire que ce à quoi je m'attendais, cela dit.

(*rappel de base : il existe aussi de mauvais auteurs ! Comme Besson, selon moi)

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Hum.... "documentaire" ? Terme un rien pompeux pour un film de vacances. Genre : "Filmons n'importe quoi sous la flotte, c'est Gaumont qui paie, et on verra si je peux pas refourguer le bidule avec l'estampille qui va bien en surfant sur la vague du GRAND BLEU. Et en plus, ça me fera passer pour un mec sérieux !"
Cela dit, ATLANTIS nous évite les dialogues idiots et le sempiternel "Un bon flic est un flic mort" pour faire plaisir aux p'tits gars de banlieue ; tradition des productions Besson.

On ne peut cependant nier quelques belles idées, comme les parallèles entre monde de surface et observations marines (analogie entre coraux et arbres dans le vent ou les poissons qui "vont à l'opéra"), mais il n'en demeure pas moins que ce que nous montre Besson n'a pas grand intérêt, surtout en comparaison avec des œuvres plus récentes (OCÉANS par exemple).
Et - le comble ! - c'est même pas beau !

Quant à la B.O. de Serra, ça commençait franchement bien, rappelant le style classique anglais, et puis à partir du moment où il se prend pour Prince, ça devient aussi infect que d'habitude.

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Un archétype de mauvais film.
Un mauvais film étant - entre autres - un film dans lequel la technique prend le pas sur le sujet.
La vision de Jehanne par Besson n'était pourtant pas mauvaise. Mais les effets hystériques et grandiloquents fichent tout par terre. Sans compter cette patte habituelle ultra-vulgaire et culturellement limitée (par exemple, les blagues pendant le combat et le chevalier qui grave "Hello!" sur un boulet de pierre, ou le méchant Anglois qui viole un cadavre pour bien montrer au public étasunien que, pour une fois, les méchants sont les Anglo-Saxons).

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L'écologie vue par Luc Besson ?
En tout cas, le seul film au monde dans lequel un mec risque sa vie pour sauver une plante en pot !!
Le grotesque le dispute au ridicule.
Film poseur.

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Aurait pu être bon. Mais non. Encore raté !
Pas vu les deux suites ...ou alors, j'ai oublié.

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J'ai toujours pris pour une insulte qu'on me dise que je faisais partie de la génération "Grand Bleu".

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Le plus gros problème de Besson est qu'il a souvent de bonnes idées, et qu'il pourrait vraiment en faire quelque chose de grand s'il prenait des risques. Mais sa manière putassière de concevoir ses films, systématiquement en draguant le p'tit jeune de banlieue (c'est en tout cas la forte impression que ça donne), transforme presque toujours ses projets en produits de consommations outrageusement vulgaires et racoleurs.

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Pour commencer, il y a l'impardonnable erreur de casting du couple principal : DeHaan a une voix de neuneu des cavernes, et un parpaing a plus de charisme que Delevingne. Evidemment, tous deux confondent jeu et pos(tur)e. Besson n'a toujours pas appris à écrire et il empile ses intentions dans un mille-feuilles outrageusement copieux et vulgairement flashy. On retrouve bien quelques éléments de la BD de Christin & Mézières, mais certainement pas son esprit. Et pourquoi demander à Desplats de faire la B.O. du film si c'est pour lui faire faire du Serra !!??

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Pas 1/10 !
0/10 !

Là aussi, il y avait matière à faire quelque chose. Mais avec un scénario écrit sur un coin de nappe en papier et des dialogues toujours aussi catastrophiques, même DeNiro, Pfeiffer et Jones ne pouvaient rien sauver de cet étron.

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pas vu

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pas vu