Les meilleurs films sur Godzilla selon idlewoodarian

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Ouah ! Le créateur de Neon Genesis Evangelion livre sa vision ultra réaliste de Godzilla : un thriller politique haletant dans lequel Godzilla est un monstre gigantesque absolument terrifiant. Les effets spéciaux sont parfaits, les scènes de destruction sont aussi glaçantes qu'impressionnantes, Tokyo est littéralement ravagée par le lézard radioactif. C'est incroyable à quel point le film prend de nombreux parti-pris et est réussi sur tous les plans. A la fois un bel hommage au mythe de Godzilla et une réinvention osée. Eh oui, c'est bien le meilleur film Godzilla, alors que c'est le trentième et dernier !

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Le réalisateur du reboot de 1995 de Gamera passe à la concurrence qui avait bien besoin qu'on lui montre comment on fait un vrai bon film de Kaiju. On est presque plus proche de l'esprit des films des années 70, mais avec une efficacité moderne imparable. Cette fois, les morts et la destruction sont vraiment palpables et Godzilla est assez effrayant. Très prenant du début à la fin, ce à quoi la franchise ne nous avait jamais vraiment habitués... En plus, on a enfin une nouvelle bande-son qui est vraiment excellente. Tellement meilleur que la vingtaine de films précédents !

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Le classique original. Ça ne vaut pas un certain King Kong, mais c'est la première et dernière fois que Godzilla apparait vraiment effrayant dans ce film catastrophe à l'ancienne.

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Comme le précédent film (Godzilla vs Mothra), un pur classique du kaiju à l'ancienne, avec cette fois-ci un adversaire nettement plus menaçant, le fameux dragon à trois têtes King Ghidorah !

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Je dois avouer trouver le film original de Mothra (également réalisé par Honda en 1961) vraiment soporifique, mais pour la première rencontre de la mite géante avec Godzilla, on obtient tout simplement un des meilleurs films de kaiju à l'ancienne !

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Le réalisateur du timbré Versus livre une version complètement débridée de Godzilla dans laquelle des aliens balancent tout le cheptel de monstres de la saga sur la Terre. Les scènes mettant en scène le lézard géant sont aussi excessives que jouissives, et les habituelles scènes de parlotte sont remplacées par des combats chorégraphiés dans un style SF kitschouille. Pourquoi pas, mais dommage que ça marche moins bien que dans Versus. Ça reste une rafraichissante réussite même si parfois on se demande si on regarde vraiment un Godzilla !

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Après le navet Godzilla vs Megalon, la franchise se relève miraculeusement. La recette ? des singes de l'espaces et un clone cybernétique de Godzilla. Les deux combats principaux sont particulièrement ébouriffants.

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Cette fois, Godzilla a l'air vraiment vivant et paraît bien gigantesque dans certains plans. Sur fond d'espionnage industriel et scientifique, il affronte un hybride, mi clone de lui-même, mi-plante géante. On voit trop peu cette Biollante, mais le combat final et son apparence sont très réussis. Dommage qu'il y ait quelques acteurs très, très mauvais et quelques mauvaises idées du style télépathie. Pas parfait, mais tout de même un épisode très solide !

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Un peu lent avant le gros pugilat final, mais ça vaut le coup d'attendre !

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Le dernier film (le quinzième !) de la première ère de la franchise est peut-être un des plus bavards et des plus lents à démarrer. Mais pour qui aime la SF vintage, ça reste une valeur sûre.

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Alors celui-là, c'est du grand n'importe quoi. Voyage dans le temps, copie cheap du T-1000 de Terminator 2, un dinosaure sur un champ de bataille de la Seconde Guerre mondiale... On dirait un peu un épisode d'une série TV débile de SF des années 2000, mais c'est tellement con que c'est plutôt divertissant.

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Avec ce sixième opus, la franchise amorce son virage vers la SF kitsch, et c'est plutôt marrant. On a fait un pas vers le royaume du nanardesque et le retour en arrière sera impossible, mais pour le moment et surtout pour les amateurs du genre, ça tient encore la route.

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Mouais. Réputé l'un des meilleurs, il est certes un peu moins kitsch et débile que les précédents et la fin est très bien. Mais sinon... bah c'est toujours pareil, on se serait bien passé d'une première heure quasi identique à tous les films précédents pour un chapitre censé clore la série démarrée en 1984.

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Encore trop long (1h47), mais on ne peut pas dire qu'il se passe rien. Space Godzilla ressemble à un boss final de jeu vidéo et je le trouve plutôt cool.

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J'en attendais pas grand-chose, mais voilà au final un épisode plutôt satisfaisant. Encore une suite directe du film original, où les humains construisent MechaGodzilla pour se protéger du retour du lézard géant. L'idée que le robot devienne hors de contrôle est intéressante mais malheureusement sous-exploitée. Pour le reste, on revient à la routine des films des années 90/2000, bien loin de l'excellent film précédent, mais dans un style plus efficace, mieux rythmé, et surtout avec une durée réduite de 1h30, enfin.

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La suite directe de Godzilla contre MechaGodzilla. Pas mauvais, ça dure encore 1h30, il y a Mothra, les effets spéciaux sont bien meilleurs que dans les films de 1999 et 2000. On ne peut pas dire qu'il était indispensable de faire cette suite mais elle est plutôt cohérente et satisfaisante. Si la première moitié est un brin longuette, la seconde réserve pas mal de scènes d'action plutôt cool.

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Bon, c'est plus un Mothra qu'un Godzilla, le lézard géant n'apparaissant que très peu et sans trop de raison. Semi-remake du film de 1964 en plus accéléré (l’œuf n'a pas le temps d'arriver au Japon avant d'éclore) et avec un autre papillon géant, Battra. Rien d'époustouflant mais pas grand-chose à redire, ce qui est rare dans cette franchise...

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Pff... Bon, je commence à avoir vraiment du mal à classer ces films, surtout depuis le reboot de 1984 que je trouve à peu près tous équivalents (en qualité, pas en contenu évidemment). Celui-là est peut-être plus intéressant que le précédent (Godzilla vs Mothra), mais avec une durée de 1h47, il est BEAUCOUP TROP LONG pour un Godzilla. Bref, cette fois-ci Mechagodzilla est créé par les humains pour affronter Godzilla, et puis il y a aussi le retour de Rodan, et une espèce de baby Godzilla qui ressemble à un gentil T-Rex miniature à l'air idiot. Tiens, ça sentirait pas un peu Jurassic Park tout ça ?

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Premier film de la seconde ère de la franchise, ce semi-reboot efface toutes les suites et se place donc en suite directe du film original. Ici, Godzilla est un monstre qui se nourrit d'énergie nucléaire, le tout sur fond de guerre froide. Dommage qu'il paraisse bien statique et que les scènes d'action soient un peu trop lentes. Mais tout de même, on retrouve l'esprit du premier film avec des scènes de chaos et de destruction plutôt réussies !

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Troisième film, premier en couleur, et déjà un crossover de légende avec le célèbre singe géant américain ! Qui est bien sûr ici joué par un acteur dans un costume guère reluisant... Ça commence à être un poil débile, mais ça tient encore la route, plutôt fun !

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J'ai un faible pour ce septième film : décor exotique d'une île déserte, scénario à la vieux James Bond, et Godzilla qui fout des tartes à un homard géant sur fond de surf rock !

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Godzilla essaye d'apprendre à son fils moche et débile à cracher des rayons laser sur une île déserte où des scientifiques essaient de contrôler le climat. Tout est dit.

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Une nouvelle suite directe au Godzilla original ! Il affronte ici une nuée de libellules géantes qui rappellent un peu Légion du reboot de Gamera. Pendant ce temps-là, les humains développent un canon à trou noir pour dégommer le lézard. Quelques effets CGI médiocre, quelques scènes sympas, beaucoup de scènes débiles. Assez moyen.

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Un épisode débile et fun où Godzilla affronte un poulet-cyborg SM.

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Réputé comme un des meilleurs mais moins connus épisodes de la première période, celui-ci m'a assez déçu. Hedorah, le monstre qui se nourrit de pollution est plutôt cool et le film est bourré d'effets psychédéliques et chelous, mais... c'est vraiment mou et limite chiant.

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C'est loin d'être parfait, mais cette suite corrige le principal défaut du Godzilla de 2014 : être chiant. Ici, on est dans du gros blockbuster américain débile, mais au moins le rythme est soutenu. Et si je n'adhère toujours pas au design de leur Godzilla et qu'il y a plein de choses qui clochent... ben c'est le premier Godzilla américain qui semble avoir trouvé l'esprit de la série. Ça se prend moins au sérieux et le scénario s'inspire de quelques épisodes mythiques de la série japonaise. Bon, y a toujours mille trucs à redire et c'est bourré de clichés, mais c'est déjà ça.

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La réponse japonaise au Godzilla américain et à Independence Day ? Mouais. Bon, c'est toujours pareil, sauf que pendant la moitié du film on suit juste un UFO et que Godzilla roupille. Les effets spéciaux donnent l'impression de regarder un film interactif sur Sega Mega-CD. Pas nullissime, mais trop lent, trop mou, trop chiant.

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Cette suite directe au film originale n'est pas spécialement honteuse, simplement inutile et inintéressante. Le costume de Godzilla est fort laid et on suit les ennuyeuses histoires de marins pêcheurs. La scène finale où des avions kamikaze tentent d'ensevelir le lézard géant sous la glace est intéressante mais pas hyper palpitante.

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Celui-là, on dirait plus un "TV special" pour enfants. Un gamin hallucine et s'imagine se trimballer avec la progéniture de Godzilla sur une île pour voir des extraits des films précédents. Nul, mais ça vaut quand même le coup pour voir Minilla se faire éclater la tronche quelques fois.