Techniquement, Kounen s'est une nouvelle fois surpassé. Des idées visuels dans chaque scène, des références digestes dans tous les coins (à son propre cinéma mais aussi à David Fincher, Terence Malick, Terry Gilliam...), Dujardin fait des merveilles, c'est très drôle, souvent trash (le passage à Miami, à la Las Vegas Parano, est dantesque), il y a de la coke, du LSD, des putes, des chefs de projet sous prozac, du vomi, des suicides, du yaourt et "l'Everest de la branlette"...
Le monde de la publicité est merveilleux, ce film et ses 10 millions d'euros de budget visible à l'écran le montre d'une bien belle façon.