Il dérouille, éros
Autant dire qu’avant de m’y mettre, j’avais le cul entre deux chaises (roulantes). Sur l’étagère "à priori berk": un pitch improbable, Marion Cotillard dompteuse d’orques infirme (infirme, on est...
Par
le 12 nov. 2012
62 j'aime
8
Créée
le 26 févr. 2013
Critique lue 331 fois
D'autres avis sur De rouille et d'os
Autant dire qu’avant de m’y mettre, j’avais le cul entre deux chaises (roulantes). Sur l’étagère "à priori berk": un pitch improbable, Marion Cotillard dompteuse d’orques infirme (infirme, on est...
Par
le 12 nov. 2012
62 j'aime
8
J'ai pas forcement envie d'être dur avec ce film et pourtant je crois qu'il faut tarir d'éloge à son sujet. Au sujet de son développement si étiré, avec beaucoup de redondance. On ne saurait taire...
Par
le 31 mai 2012
55 j'aime
8
Le voilà enfin, le rôle de sa vie. Enfin, Marion Cotillard nous scie les pattes ! L'ORQUE, IDEE SAUVAGE Stéphanie est jeune et jolie (si, arrêtez avec les insultes maintenant, elle est souvent...
Par
le 25 avr. 2013
51 j'aime
7
Du même critique
Et si le meilleur album de l'année 2005 était sorti en décembre 2004 ? La question lancine pendant l'écoute du splendide Funeral, d'Arcade Fire, un groupe totalement inconnu né en 2003, dont le...
Par
le 11 févr. 2013
9 j'aime
Les groupes qui possèdent un son reconnaissable aux premiers accords ne sont pas légion. Il y avait bien les Musclés mais depuis que Framboisier ne fleurit plus, le groupe pourrit. Alors quand...
Par
le 11 févr. 2013
8 j'aime
Quand François Ozon n'escroque pas son monde en tournant deux fois le même film (le superbe Sous le sable et le pâle Swimming pool), il tente des expériences originales quoique souvent ratées : le...
Par
le 8 févr. 2013
8 j'aime
2