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Effroyable ?
Jean Becker : après le polar "Un nommé La Rocca", il est devenu le cinéaste qui met en scène des braves gens ou encore l'amitié. Il y eut "Les enfants du marais" puis, après "effroyables jardins", il...
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le 6 nov. 2022
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Peut-on traiter une époque aussi effroyable que la seconde Guerre mondiale avec humour. Souvenons-nous du "Dictateur" de Chaplin, de "La Grande Vadrouille" d'Oury ou plus près de nous de "La Vie est belle" de Begnini.
Jean Becker, s'appuyant sur un bon roman, à son tour avec l'humanisme et la sensibilité que nous lui reconnaissons a construit un film touchant. Mêlant drôlerie et compassion, il nous montre une fois encore qu'il y eut des salauds et des bons des deux côtés. Celui qui dénonce le quartet d'otages est français, celui qui tâche de les aider à sa mesure est allemand. Dans cet exercice difficile, les comédiens chargent parfois un peu trop le côté franchouillard, juste un peu trop mais on le leur pardonne facilement tant ils sont humains et tous si sympathiques.
Jean Becker, s'appuyant sur un bon roman, à son tour avec l'humanisme et la sensibilité que nous lui reconnaissons a construit un film touchant. Mêlant drôlerie et compassion, il nous montre une fois encore qu'il y eut des salauds et des bons des deux côtés. Celui qui dénonce le quartet d'otages est français, celui qui tâche de les aider à sa mesure est allemand. Dans cet exercice difficile, les comédiens chargent parfois un peu trop le côté franchouillard, juste un peu trop mais on le leur pardonne facilement tant ils sont humains et tous si sympathiques.
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le 24 janv. 2015
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