Marc Dutroux, fan de Melies
Oubliez le synopsis d'Hugo Cabret.
La vraie histoire de ce film, c'est celle d'un réalisateur qui ne baise pas assez.
Alors au lieu de se servir de sa queue comme tout le monde, il va se soulager par la caméra.
Et voila qu'il éjacule par saccade du travelling tape à l'oeil, des mouvements vertigineux pour, pour, pour... Ben pourquoi au juste ?
Bah j'en sais rien en fait.
Juste pour montrer un gamin qui espionne des gens à la gare Montparnasse, à l'époque ou elle ne ressemblait pas à un pur produit de l'architecture bolchévique.
J'étais un peu gêné vous comprenez.
Je regardais ces pauvres enfants dans la salle autour de moi. Moi qui désirait tant d'ordinaire leur enfoncer leurs tripes dans la gorge pour étouffer leurs cris lors de projections de film d'animation, pour une fois... j'avais pitié pour eux.
Voila qu'un vieux pervers sexagénaire leur fait une éjaculation faciale, alors qu'ils n'avaient rien demandés.
Et une fois que l'intrigue se met en route, elle nous captive autant qu'un panier d'aubergines.
A savoir que notamment, le fameux Hugo essaye de récuperer le carnet ultra précieux de son père, censé pouvoir réparer l'automate qu'il détient) auprès de Monsieur Georges (qui lui a subtilisé... simplement en le demandant -très fort ce type-) et en tape une heure de film la dessus, alors qu'en réalité, il n'en avait jamais eu besoin puisqu'il est capable de faire tout aussi bien sans.
Puis alors sa famille, elle vaut de l'or à Hugo.
Jude Law se fait tué par une boule de feu facon 80's, sortie de nulle part. Et son oncle, Ray Winstone, il cabotine tellement que son front crie "FAKE".
Je dois reconnaitre que cette critique est pas vraiment légitime puisque je me suis cassé de la salle a mi-parcours quand Scorsese s'est remis a m'éjaculer à la gueule en m'envoyant en l'air des dessins de Melies en 3D.
Mais ca tombe bien, puisque finalement j'ai l'impression que je peux le résumer a ce que j'en ai vu: l'histoire d'un fanboy qui pète allégrement les couilles à Melies.
Et qui fait de la pédophilie cinématographique accessoirement.