Quelqu'un a adapté le punk à texte français sur le parking d'une ZAC comme on en trouve des centaines en France. Ça sent la frite et ceux qui gardent jalousement les bénéfices d'une politique séculaire d'aliénation de la classe ouvrière.
Mais ensuite ? Et bien ça ne va pas beaucoup plus loin que de jouer avec le décor et de montrer la tristesse de la mentalité pavillonnaire. L’enchaînement est trop confus pour être percutant, et trop simple pour nous mettre vraiment dans la peau d'un punk bourré.
J'en garde surtout cette transformation de Dupontel, à mesure que le film bascule dans une noirceur plutôt bienvenue.