Les Aventuriers de l'arche perdue par Incertitudes
La trilogie des Indiana Jones, outre le fait d'avoir marqué mon enfance pour l'avoir visionné de nombreuses fois à la télé ou en VHS m'a fait aimer le cinéma en compagnie d'autres films de Steven Spielberg : E.T, Rencontres du 3eme type.
En 1981, le célèbre réalisateur, déjà auteur des Dents de la mer et de Rencontres du 3eme type, décide avec Georges Lucas de remettre au goût du jour le genre du film d'aventures en s'inspirant de comics des années 30-40 que Lucas adorait. Indiana, du nom du chien du réalisateur de La guerre des étoiles, Jones était né.
Tom Selleck était pressenti pour le rôle mais c'est finalement Harrisson Ford "Han Solo" qui emporte le morceau. Il ne joue pas, il devient véritablement cet aventurier mal rasé, professeur d'archéologie le jour, chasseur de trésors la nuit, cicatrice au menton, chapeau vissé sur la tête, fouet en main et sourire en coin.
Les Aventuriers de l'arche perdue, pour moi le meilleur des 4, l'emmène sur les traces de l'arche d'alliance convoitée aussi par les nazis. Un grand film d'aventure épique qui nous emmènera en Asie puis au Caire où l'on suivra Indiana à cheval, en camion avec une course-poursuite infernale, ou au bord d'un bateau pistoletant à qui mieux mieux sur du nazi. Tout est culte ici. Le personnage en lui-même très charismatique, la musique de John Williams, le film bien sûr qui mêle habilement réalité historique et une pointe de science-fiction.