Situé dans l'Amérique du début du 20ème siècle, Les Moissons du ciel est magnifiquement tourné entièrement à la lumière naturelle, nous offrant des tableaux d'une beauté absolue. La synchronisation entre le déchaînement de la nature et celui de l'homme est remarquable. Ce film est une ode à la nature dans toute sa splendeur, peut-être un des films les plus beaux jamais tournés.
klauskinski
9
Écrit par

Créée

le 29 mars 2011

Critique lue 261 fois

1 j'aime

klauskinski

Écrit par

Critique lue 261 fois

1

D'autres avis sur Les Moissons du ciel

Les Moissons du ciel
guyness
9

Aux Malickiens Anonymes

- Bonjour, je m'appelle Guy Ness, et je suis Malickien depuis... mon dieu, 13 ans déjà. (la salle:) - Bonjour Guy Ness (Steven, parrain de Guy Ness, s'adressant à la foule:) - Notre ami Guy est avec...

le 31 mai 2011

134 j'aime

59

Les Moissons du ciel
Sergent_Pepper
8

Au commencement étaient les herbes

Il fut un temps, aujourd’hui reculé, où Malick racontait des histoires. Revenir aux origines de son cinéma, avant la grande ellipse de sa carrière et son retour désormais un peu trop prolifique,...

le 9 janv. 2016

97 j'aime

8

Les Moissons du ciel
Nushku
10

East of Eden

Days of Heaven se savoure comme un poème mis en image. L'histoire est simple, certains diront simpliste, changée en cours de tournage. Elle est tout en suggestions, en non-dits et il est fréquent de...

le 7 déc. 2010

73 j'aime

11

Du même critique

L'Avventura
klauskinski
9

Critique de L'Avventura par klauskinski

Au début de L'avventura, on suit un groupe de bourgeois en croisière dans les îles éoliennes. La disparition sur une des îles de celle qui constituait jusqu'ici le personnage principal du film, Anna,...

le 1 août 2011

42 j'aime

Révélations
klauskinski
8

Critique de Révélations par klauskinski

Mann s'empare avec Révélations d'un problème de santé publique qui aurait pu donner un lourdaud film à thèse. Pourtant, tout en réalisant une oeuvre résolument militante, le réalisateur parvient avec...

le 28 déc. 2010

19 j'aime

1

Innocents
klauskinski
7

Critique de Innocents par klauskinski

En laissant à distance la matière pourtant fertile que constitue la révolte étudiante de 68 pour se focaliser sur un trio amoureux en huis-clos (Green, Garrel et Pitt magnifiques) Bertolucci signe...

le 1 mars 2011

15 j'aime