Des bagnoles, des motos, des camions. Mad Max, c'est un peu comme le Paris-Dakar : une bande de furieux motorisés qui se donnent la chasse dans un paysage désertique.
Je m'attendais à un peu plus de scénario, un peu plus d'enjeux dramatiques et un jeu un poil moins bovin de Tom Hardy. Mais ce reboot est ni plus ni moins une relecture du deuxième opus avec encore moins de scénario, encore plus de poursuites de voiture, des méchants encore plus moches, encore plus cons, encore plus bourrins. Des gentils encore plus naïfs, encore plus prévisibles, encore plus héroïques, encore plus nawak. En bref, c'est un film terriblement ancré dans son époque, comme l'étaient les autres opus de la série. Le bat blesse peut-être justement parce qu'on l'avait oublié depuis le temps.
J'ai un ami qui en a fait une étude bien plus poussée que moi sur le blog anotherwhiskyformisterbukowski, je la pose là