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Colombiana.
Je vais vraiment finir par croire qu'Oliver Stone est bien mort. Pas que le cinéaste ai été parfait dans le passé, loin de là, mais des films comme "Platoon", "The Doors" ou "Salvador", malgré leur...
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le 1 oct. 2013
25 j'aime
1
Plus c'est long, plus c'est bon ? Ah non.
Soupir entendu dans l'ensemble de la salle 10 minutes avant la fin du film. Oliver Stone a décidé de nous faire le coup de "Et si la 1ère fin, c'était pas la vraie ? Attendez, on vous en fournit une 2nde pour le happy ending".
Si l'on devait retenir l'un des défauts de Savages, ce serait bel et bien son rythme et sa durée.
Ces "sauvages" mis en scène sont rustres, brutaux (ça lésine pas sur les scènes de violence), mais leur récit (au demeurant pas dépourvu d'intérêt, même si très convenu) est long comme un jour sans pain et sans eau. Le peu de nervosité introduit par les péripéties retombe comme un soufflé dès lors que la narratrice fait entendre sa douce voix sur fond de musique californienne et bruit des vagues. On en vient à souhaiter que tout se termine dans un bain de sang, mais non que nenni, ce n'est pas la vraie fin qu'on nous dit, alors on reste là boudeurs en attendant que ça passe.
Encore heureux que le casting inclut un Del Toro et un Travolta à l'aise dans leurs rôles respectifs... Ca sauve pas le film, mais ça brise un peu l'ennui.
Si l'on devait retenir l'un des défauts de Savages, ce serait bel et bien son rythme et sa durée.
Ces "sauvages" mis en scène sont rustres, brutaux (ça lésine pas sur les scènes de violence), mais leur récit (au demeurant pas dépourvu d'intérêt, même si très convenu) est long comme un jour sans pain et sans eau. Le peu de nervosité introduit par les péripéties retombe comme un soufflé dès lors que la narratrice fait entendre sa douce voix sur fond de musique californienne et bruit des vagues. On en vient à souhaiter que tout se termine dans un bain de sang, mais non que nenni, ce n'est pas la vraie fin qu'on nous dit, alors on reste là boudeurs en attendant que ça passe.
Encore heureux que le casting inclut un Del Toro et un Travolta à l'aise dans leurs rôles respectifs... Ca sauve pas le film, mais ça brise un peu l'ennui.
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le 30 sept. 2012
Modifiée
le 30 sept. 2012
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